Miracle dans un fauteuil
Datte: 26/01/2020,
Catégories:
fh,
handicap,
cérébral,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
jeu,
confession,
consoler,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... appétit sexuel, et même que c’est probablement mieux comme ça…
Nous retrouvons Nico devant un match de basket, et pendant que j’installe mes affaires dans la chambre de Sophie, celle-ci se pomponne. Je la taquine lorsqu’elle me montre le petit ensemble coordonné en dentelles noires et rouges qu’elle enfile sous sa robe par ailleurs très coquine. Décidément, leur périple va être chaud et je lui rappelle de ne pas oublier ses pilules !
Lorsque Serge arrive, il émet un sifflement admiratif en regardant Sophie. Je me permets d’insister, à la grande joie de Nico :
— J’espère que vous serez sages tous les deux !
Une fois les tourtereaux partis, je m’installe dans le salon avec un livre. Nico, à mes côtés, regarde son match de basket. À la fin de celui-ci, il me propose un trivial poursuit. Il me suggère d’en pimenter l’enjeu : celui qui perdra aura un gage. J’accepte. Je suis étonnée de sa culture, et, après deux heures de jeu, je n’ai que deux camemberts, lui les a tous. Il me demande alors de danser devant lui sur une musique brésilienne. Au delà de la complicité croissante entre nous et des fous-rires que nous avons partagés en jouant, je me rends bien compte que la danse est pour lui le symbole même de ce que son handicap l’empêche de faire.
Je mets le cd qu’il a choisi, et me trémousse devant lui sur un rythme plutôt langoureux. Il applaudit à la fin, et me demande unbis. J’accepte, en lui précisant qu’il n’y aura pas deter. Son regard m’enrobe, j’ai ...
... l’impression d’être un modèle animé devant un peintre. Le morceau fini, je lui dépose un chaste baiser sur le front, et le conduit à la cuisine. Je prépare notre dîner, toujours couvée par ses yeux d’or. Il épie avec attention chacun de mes mouvements, ce qui me vaut un compliment de sa part qui me donne le rose aux joues :
— Tu te déplaces comme une grâce, Élodie. Mes sœurs ne sont pas aussi féminines quand elles font la cuisine !
Nous avalons une omelette aux herbes qui me vaut des compliments de sa part, puis nous nous installons devant la télé. Le film qu’il a choisi — un western spaghetti — ne m’inspire guère, et c’est avec lassitude qu’une fois celui-ci fini, je le raccompagne dans sa chambre. Je suis un peu gênée, car il me dit vouloir prendre sa douche. Il ôte tant bien que mal sa chemise et son pantalon, et me demande de l’aider pour ôter son boxer.
En le retirant, je vois son sexe flasque à quelques centimètres de mon visage, triste oiseau endormi niché entre ses cuisses. Je me sens mal à l’aise. Je l’aide à passer, entièrement nu, de son fauteuil à la chaise médicalisée de sa douche, ferme le rideau et attends dans le couloir qu’il ait fini. Je l’aide à remettre un boxer propre puis à rejoindre son lit. Je file à mon tour sous ma douche. Au moment où je vais me coucher, je l’entends m’appeler. En nuisette, je rentre dans sa chambre : l’ampoule de la lampe murale a sauté, et il ne peut plus lire. Je trouve une ampoule là où il me l’a indiqué, et, montant sur un ...