Une courtisane ou Belle Époque
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
f,
fh,
amour,
cérébral,
revede,
Masturbation
Oral
pénétratio,
champagne,
fouetfesse,
coupfoudr,
tarifé,
Auteur: Asymptote, Source: Revebebe
... tâche relevant de sa charge. Encouragé par cet apprentissage, j’ai enrichi cette initiation dans les bras aimables et avenants de Doris, la camériste de ma mère, une grande et solide demoiselle qui m’a sensibilisé aux envoûtements du corps féminin. Il me faut avouer que le sien disposait de naturels avantages, de superbes rondeurs et d’une propension aux extases vibrantes et moites.
Ces deux premières expériences avec la domesticité de la maison, me furent dictées plus par ma timidité qui m’interdisait encore d’accoster des inconnues, qu’à un goût des amours ancillaires et je détestais m’entendre appeler « monsieur » au sortir de mes ébats.
Depuis l’obtention de mon baccalauréat, je seconde mon père côté rémois ce qui lui permet d’être un peu moins au bercail, un peu plus en la capitale. Dans nos bureaux, œuvre une gentille secrétaire éminemment serviable, d’une beauté rustique mais incontestable, blonde d’un joli blond pâle et vaporeux. Abandonnée par son compagnon, la sémillante Violette règne sur un monde de paperasses, déclarations, bordereaux, factures et comptes en tout genre dont elle s’acquitte avec une rare virtuosité sans rechigner jamais devant une tâche supplémentaire. Je devine très vite que je ne déplais pas à cette attrayante jeune femme qui avoisine la trentaine et cultive les élégances.
Un soir, je la raccompagne chez elle et elle m’invite à monter. Sur le pallier, avant même d’entrer dans son logis, elle m’étouffe d’un baiser dévastateur. J’y ...
... réponds avec empressement tout en fourrageant hardiment sous ses jupes, ce dont elle se garde de me dissuader. Le seuil franchi, je me précipite sur elle poursuivant mes investigations, l’embrassant à nouveau et tentant de dégrafer son corsage, tandis que sans hésitation elle déboutonne ma chemise. Je m’agace sur les minuscules nacres noires qui ponctuent le jabot de sa robe mais cette tâche est si délicate que ma fébrilité me la fait bientôt remettre à plus tard. Tant pis, j’accède partiellement à deux sublimes globes ivoirins malheureusement toujours emprisonnés dans le double carcan de son corset et de sa chemise. Je suçote et caresse en me grisant des effluves de violette embaumant ces divins parages, mais m’impatiente aussi d’examiner ce que je n’ai auparavant qu’à peine palpé. Je me jette à ses genoux et, remontant très haut sa robe, descendant l’ample culotte aussi bas que me le permettent les jarretelles, libérant sous les replis de son cotillon un pubis duveteux, je m’extasie devant les merveilles que je découvre. J’y porte mes lèvres et Violette, prise de panique, laisse alors retomber ses volants, m’emprisonnant sous une cloche d’étoffe. Je visite de ma langue l’amoureux bouton qui se raidit et que je titille à l’envi. La belle vibre sur ses fondements et envahit ma bouche d’une liqueur exotique, escortant cette émission d’un tremblement réjoui, cadencé par des secousses si intenses que je crains qu’elle ne se disloque. J’essaye de me dépêtrer de sa robe et de ses ...