1. Vous en rêvez ! Vous y pensez souvent ! (1)


    Datte: 25/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Inceste / Tabou Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... danse, mais ici c’est sous le regard de mon mari, et même la douce pénombre ne peut cacher ce reflet dans ses yeux. Nos regards se croisent mais je ne peux soutenir le sien.
    
    Je me sens coupable.
    
    Coupable, et pourtant je ne fais que céder à ces deux hommes. L’un qui me confie à l’autre, lui donnant tout pouvoir sur son épouse. L’autre qui, comme si c’était naturel, m’embrasse et me câline.
    
    Coupable car je ne fais rien contre ce projet alors qu’il suffirait d’un mot, d’un geste pour briser cette complicité.
    
    Mais coupable, ô combien, car si je n’ai pas vraiment imaginé me retrouver ici, je dois reconnaître que pendant tous ces jours je n’ai cessé de revivre cette scène de ma jeunesse et regarder plusieurs fois le blog de cet homme. Tout cela me procurait une tension que Paul n’arrivait pas totalement à dissiper, me laissant m’endormir heureuse mais avec des rêves peuplés de scènes érotiques.
    
    Et me voici enveloppée de bras puissants contre un corps que je sens viril, sous le regard de mon mari. Mais Serge a repris son exploration entamée pendant la danse pour qu’il puisse me caresser. Paul est aux premières loges et ses yeux sont attirés par ces mains qui me dénudent, qui enveloppent mes fesses, qui me pressent contre cet homme dont la virilité est rayonnante.
    
    Je suis gênée mais fière. Fière de ce que je déclenche chez Serge, amant expérimenté et qui pourtant bande de mon simple contact. L’homme sait-il que mon pubis se porte au-devant de lui ? Je me sens ...
    ... emportée, transportée par cette ambiance si particulière alors que nous ne sommes encore coupables que de caresses appuyées.
    
    Mais on me soulève. Ses mains puissantes forment un siège qui me porte et me dépose sur cette table qui cogne contre le mur. J’abandonne la chaleur et la douceur de paumes pour la rudesse et la fraîcheur d’une table de bois. Je suis assise, jambes pendantes, mon intimité dénudée par le tissu de cette robe qui se chiffonne sur mon ventre. Serge doit avoir envie de plus car rapidement il trouve les quelques boutons qu’il détache avec empressement et dextérité. Je l’aide en levant les bras afin que le tissu passe facilement. Me voici nue – enfin, presque – mais pas tout à fait jusqu’à ce que mon soutien-gorge suive le chemin de ma robe.
    
    Il est face à moi, massif, puissant, bien posé sur ses jambes. Ses yeux me découvrent et son regard perçant me rend encore plus dénudée, plus offerte, comme s’il savait que d’une certaine façon je l’attendais depuis cette nuit dans le bus.
    
    Il défait sa chemise, laissant apparaître ce que j’avais vu sur les photos de son blog, un torse musculeux mais surtout habillé de poils qui forment comme un écrin à ses deux petits tétons. Un duvet qui se concentre sur une ligne entre torse et ventre pour s’étaler à nouveau autour du nombril et descendre plus bas, plus bas qu’un pantalon me cache encore. Mais en quelques secondes plus rien de stoppe mon regard et je peux constater que le duvet se densifie sur le pubis, formant une ...
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