Vous en rêvez ! Vous y pensez souvent ! (1)
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... touffe sombre d’où la verge jaillit.
Sur son blog, jamais on ne voyait vraiment son sexe, comme si une pudeur étonnante lui commandait de le réserver à ses partenaires. Pourtant il peut en être fier comme il peut être fier des deux bourses qui lui servent de base. La tige et les couilles donnent étrangement une impression de douceur et de fragilité car elles sont lisses et s’extirpent d’un océan de duvet et poils qui couvrent le pubis et les cuisses. Pourtant, la dureté est évidente, la bite se tenant horizontale. Je la surplombe et elle semble sans fin, avec un gland qui donne envie.
Il se penche sur moi. Instinctivement j’ouvre les cuisses pour le recevoir. Sa queue se frotte à mon pubis mais Serge se penche encore, cherchant mes lèvres. Il les trouve, bien sûr. Les siennes sont douces et chaudes. Un baiser délicat, et cela me trouble. Me trouble car je m’inquiète de ce que voit mon mari. Je ne suis pas dans sa tête, mais si j’étais à sa place je serais plus que troublée. C’est une chose de voir sa femme faire l’amour à un amant, libérant des instincts primaires de plaisir, de jouissance, de corps-à-corps ; c’en est une autre de voir sa femme recevoir et échanger des baisers chargés de tendresse avec cet amant.
Mais heureusement, bien vite Serge quitte mes lèvres pour venir happer un téton. Il y trouve mes deux lobes gonflés d’une envie que je ne contrôle plus, laissant darder mes deux pointes qu’il aspire, suce, lèche, mordille comme des friandises dont il veut ...
... profiter. Juste ses lèvres, sa langue, son souffle. Pas de mains ou de doigts malhabiles. Non, toujours de la délicatesse mais qui m’excite encore plus. Je comprends que l’homme veut donner à mon mari un spectacle "crescendo" dans une écriture progressive, conservant pour la fin, en bouquet final, une possession, véritable conclusion du contrat qu’ils ont signé dans ce café où tout a été dit.
Je gronde de ses caresses. Il mordille mes tétons. C’est bon, délicieux.
Et puis il reprend son chemin. Sa verge quitte la chaleur de mon ventre. Mon nombril n’est qu’une halte. Je frémis d’impatience ; mes cuisses s’ouvrent encore plus pour que sa tête y trouve sa place. Il fait durer le plaisir en embrassant l’intérieur de mes cuisses, sautant de l’une à l’autre avec une perversité redoutable.
— Ohhh !
Je ne peux retenir ce petit cri que mes lèvres expulsent dans un soupir de bonheur alors que d’autres lèvres viennent de me toucher au plus intime. Sa bouche est brûlante, sa langue chaude et agile qui fraie son chemin dans une fente de chair déjà conquise.
— Elle est toute humide !
C’est Serge, s’adressant à mon mari qui est aux premières loges, dans ce fauteuil dont il a quitté le confort pour se tourner vers nous. Paroles à la fois rassurantes et pleines de promesses. Rassurantes car si je mouille, cela conforte mon mari dans son fantasme en montrant que moi aussi cela m’excite. Pleine de promesses : oh que oui, alors que l’homme a repris ses caresses en extirpant mon ...