Vous en rêvez ! Vous y pensez souvent ! (1)
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... très clairement.
J’essaye pourtant de faire l’indifférente, mais manifestement Paul semble avoir senti que tout cela me trouble. Cette aventure dans le bus, ce blog, ce rappel de notre jeunesse, tous nos jeux avec ces fameuses culottes et ces nuits de baise que tout cela déclenchait depuis quinze jours !
Je reste silencieuse un long moment. Moment que Serge utilise pour me câliner, déclenchant en moi des ondes de désir. Un désir que je sens aussi chez lui car son sexe dur se plaque contre moi.
— Je vous trouve très belle et désirable. Je serais heureux de vous faire découvrir la joie du partage. Si vous en avez envie, laissez-vous aller et vous ferez de Paul le plus heureux des maris.
Ses lèvres ne cessent de me caresser le cou, déclenchant des frissons que je ne peux cacher. Petit à petit Serge m’a attirée dans une zone plus sombre de la piste et sa main a remonté ma jupe pour toucher mes fesses. Ses lèvres trouvent les miennes et je me laisse embrasser, répondant bien vite à sa langue fureteuse. Mais il cesse pour dire:
— Venez, allons dire la bonne nouvelle à votre mari qui doit craindre un refus.
— Mais comment ? Jamais je n’oserais…
— Mais si. Tenez, accompagnez-moi à votre table. Prétextez que vous devez aller vous refaire une beauté, et en revenant vous lui donnez votre petite culotte. Il comprendra et sera le plus heureux des hommes, et j’espère que vous aussi.
J’hésite. Mais manifestement ce fantasme de me voir à nouveau avec un autre homme ...
... s’est emparé de mon mari, et ma foi, ces derniers jours je dois reconnaître que je suis plus que troublée par tout cela.
Et je le fais. Je laisse Paul en grande conversation avec Serge, et lorsque, en revenant, je tends ma petite culotte à mon mari, son sourire et son "Merci ma chérie" sont des encouragements.
Serge nous laisse un instant tous les deux mais nous ne parlons pas, manifestement complices en attente de ce que nous avons choisi mais étrangement timides comme des adolescents.
Lorsqu’il revient, il tient une clé à la main et c’est de l’autre qu’il m’entraîne avec Paul qui nous suit.
L’escalier est étroit, sombre. La chambre est intime, lumière tamisée, manifestement faite pour les rencontres adultères. Un lit ! Lit assez grand pour qu’un couple puisse s’ébattre librement. Une table contre un mur, un fauteuil contigu. D’un geste, Serge montre le siège à Paul. On dirait une ouvreuse qui montre sa place à un spectateur. Moi je suis comme prisonnière. Pas de menottes, pas de liens, juste une main qui tient la mienne, et surtout une volonté qui supplante la mienne. Cela ne me ressemble pas, mais elle est la convergence de celle de Paul qui a exprimé le vœu de me voir avec un autre et de celle de Serge qui a clairement pris les choses en main.
La pièce n’est pas si grande, et alors que Serge me prend dans ses bras, Paul doit lever la tête pour nous voir échanger un baiser. Un baiser qui me tourmente. Serge m’a déjà embrassée plus fougueusement sur la piste de ...