Concours d'infidélité
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
collection,
humilié(e),
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
pénétratio,
Humour
extraconj,
Auteur: Bleuet, Source: Revebebe
... polo et expose les corbeilles fournies de son soutien-gorge, m’invite à le dégrafer. Deux secondes elle hésite, mais me sourit en faisant tomber sa jupe. Elle se jette sur son lit, se tourne sur le dos :
— Viens, administre-moi ta preuve. Cette fois la goutte d’eau fait déborder le vase. Je l’ai prévenu, tant pis pour lui.
Je ne suis qu’un imbécile de mari fidèle, porteur de cornes. Je n’ai rien de ces conquérants, tombeurs professionnels. Luce est plus déterminée que moi à se venger et me tend les bras. Je chasse mon accès soudain de timidité et je vais m’allonger contre elle. Ce n’est pas une torture. Luce est belle, bien roulée, appétissante. Je dévore des yeux ces chairs bien nourries de sportive entraînée, soignées, entretenues avec soin, luisantes mais veloutées au toucher ; je palpe la douceur d’un sein, je l’embrasse amoureusement à sa demande. Autant je commence à détester Marie, autant je me mets à désirer ce corps de femme plaisant sur lequel je retrouve l’odeur suave du dernier parfum de Marie. Malin ce monsieur Drelin, il transporte de l’une à l’autre les mêmes fragrances. Si le contact de son épouse me charge de son parfum, Marie n’y verra que du feu : Lucien tu n’y as pas pensé. J’approuve la claire décision de Luce de trouver avec moi une compensation à ce que ma femme lui dérobe. Elle attend de moi affection, dévouement et amour charnel. Elle ne mâche pas ses mots et me promet de se donner corps et âme.
— N’aie pas peur. Je n’ai pas l’habitude, je ...
... suis comme toi. Mais il faut leur donner une bonne leçon, et celle-là va faire son petit effet. Viens, embrasse-moi.
Il y a cinq minutes j’étais petit, sans intérêt, sans importance, méprisé et humilié par la conduite de ma femme. Je me sens soudain beau, grand, fort, aimable. Désirable. J’attrape des ailes. Cette bouche est nouvelle, nos lèvres fermées s’entrouvrent, se cherchent, s’apprivoisent. Luce est plus hardie, sa langue passe les obstacles, vient jouter contre la mienne. Ses yeux rient de ma timidité ou du bonheur simple de se sentir comprise. J’ose une caresse sur le sein le plus proche, paume à plat.
— Oui, caresse-moi.
Je m’enhardis, je m’accroupis et j’emprisonne ses seins dans la double coupe de mes mains. Les aréoles granuleuses se parent de deux tétons qui gonflent au toucher. La tentation est forte, je veux y goûter et j’y porte les lèvres.
— Oui, j’aime, suce.
Luce renverse la tête et me présente spontanément les pointes à dorloter. Des soupirs et des bruits de gorge m’encouragent. En hâte, je termine de me dénuder. Il lui reste la culotte confortable, elle soulève son bassin et m’invite à l’en délivrer. La tâche est plaisante, je découvre les bouclettes brunes de sa toison pubienne et la coquetterie d’une taille soignée du maillot. Luce s’amuse de ma curiosité devant son sexe dévoilé. Pour me convaincre de sa bonne volonté, elle disjoint ses cuisses bien en chair, dévoile la vulve, deux grandes lèvres bombées et un sillon fuyant entre les ...