Barbara à Cracovie (1)
Datte: 24/01/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Thalderhoff, Source: Xstory
... mais me lèche le cul.
Je ne sens plus Jan.
Je l’imagine, debout derrière moi, tout près, sur ses genoux, en train de se branler pour affermir son sexe.
Je sais que dans les secondes qui viennent, je vais sentir le contact du gland chaud et humide.
Il va probablement s’en servir pour caresser encore un peu l’orifice qu’il a méticuleusement dilaté, ajouter encore un peu de salive qu’il va laisser couler jusqu’à ce qu’elle glisse d’elle-même dans le trou béant.
Avec la maîtrise et l’expérience qu’il semble avoir, je pense qu’il va juste le poser sur ma pastille et attendre, attendre que je sois prête, que je sois consciente, consentante ou même résignée à me faire sodomiser.
Il va guetter ma réaction, voir les contractions de mes muscles, lire la peur sur ma peau.
Et moi, dans tout cela, hein ! Qu’est-ce que je fais, moi ? Rien, sinon de me jeter comme une folle sur la chatte de Brigitte que je dévore comme une affamée.
C’est tout comme je l’avais imaginé ! Enfin presque !
Jan prend effectivement son temps, me caresse du bout de sa queue pendant une minute ou plus. Ça me rend tellement folle que je n’ai plus la moindre notion du temps.
Ce que je ne pouvais imaginer soudain me fait me mordre les lèvres jusqu’au sang !
Jan me pénètre en faisant exactement comme tout à l’heure. Il entre, s’enfonce en moi, doucement.
Ça pique ! Ça brûle !
Je ne peux faire moins que pousser un râle à faire peur.
Je serre les coussins à m’en casser les ...
... ongles.
L’étau des bras de Brigitte s’est affermi sur ma taille tout comme ses cuisses qui se sont refermées sur les tempes comme se ferme une huitre qu’on cherche à ouvrir.
J’ai l’impression que mon ventre a gonflé, que j’abrite un alien dans mes boyaux.
Jan cette fois ne bute sur rien mais c’est moi qui ressens comme une nausée quand il s’immobilise, engagé jusqu’aux couilles dans mon cul.
Mes tripes semblent remonter dans ma gorge. Il faut que je me détende sinon, je vais vomir.
Ses mains nerveuses m’ont saisie un peu plus bas que les hanches, en haut des cuisses. De ses bras puissants, il me serre contre son ventre comme s’il cherchait à avancer encore plus avant !
Sa verge palpite en moi et je ne sais pourquoi ni comment mais je lui réponds en contractant mes muscles comme pour le retenir.
Message reçu de sa part ! Il apprécie !
En guise de réponse il me claque la fesse gauche puis celle de droite sèchement.
J’ai mal bien sûr mais c’est tout juste si je ne crie pas "encore !" .
Un, deux, trois coups de ventre qui me font hoqueter et Jan se retire, d’un coup, entièrement.
Pendant un temps qui me semble une éternité il ne se passe rien.
Brigitte me tient toujours fermement.
Oh, mon Dieu ! C’est pas possible !
D’un coup d’un seul et jusqu’à ce que ses couilles fouettent ma chatte, Jan m’a pénétrée sauvagement pour ressortir entièrement dans la seconde. Il recommence ! Encore ! Trois fois, dix fois ! Je hurle ! Je jouis !
Brigitte ...