Travaux pratiques
Datte: 22/01/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
couleurs,
couple,
cadeau,
cocus,
vacances,
anniversai,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
intermast,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
yeuxbandés,
confession,
couple+h,
cocucont,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... mari ce qu’elle a accordé à son amant.
Il ne faut jamais demander l’impossible, surtout à un mari qui sent que la jouissance arrive alors que sa queue est au chaud dans une bouche accueillante qu’il a déjà vue accepter et avaler un flot de sperme étranger. Mais ce qui est meilleur que tout, le plus excitant, le plus jouissif, le plus graveleux, c’est l’aisance avec laquelle Maude accepte cet hommage si longtemps refusé. Pas une goutte, pas une traînée n’est perdue. Elle fait son devoir. Petit soldat jusqu’au bout qui présente au propriétaire une langue chargée de son propre fruit. Et, j’accepte l’hommage. Oui ; je ne fais pas partie de ces hommes qui demandent à leur femme de boire leur semence et refusent d’y goûter. C’est pour moi un devoir, un plaisir, un pardon accordé de partager ce goût particulier du sperme masculin.
C’est le soir même, au moment de ranger la vaisselle, que j’ai demandé la suite du programme. Après la douche, de retour de plage, Maude reste en chemisette ou tenue légère. Il a été facile pour moi de la bloquer devant l’évier pour rendre hommage à sa féminité. Rendre hommage, oui, mais d’abord avec ma bouche et ma langue. Souvent, c’est un exercice que nous pratiquons, sachant que des passants peuvent voir cette femme, dans sa cuisine, qui se charge des tâches ménagères, sans se douter qu’une langue se charge d’autres tâches. La différence, c’est qu’aujourd’hui cette langue prend ses aises. Bien sûr, elle excite le clito et pousse dans la vulve, ...
... mais aussi elle montre un autre chemin, une autre porte, celle que l’on qualifie de « porte de derrière », ou « fondement », ou « porte des vierges ». Car ce chemin, le cul pour être trivial, a toujours été le succédané pour l’amant délicat. Mais oui, délicat, car il prenait soin de ne pas engrosser sa maîtresse. La pilule et la pudibonderie se sont chargées de rendre la route honteuse.
Honteuse ? Mon cul ! Si j’osais ce jeu de mots, que j’aurais fait dans une de mes histoires inventées. Mais je dois rester au plus près de la vérité. Pourtant, c’est bien là que mon gland demande la permission. Accordée, semble dire le long soupir que ma femme pousse alors que mon pieu progresse.
Divine révélation… Chemin étroit, presque vierge. J’imagine un passant qui voit Maude, immobile, la bouche ouverte, comme pétrifiée. Que peut-il penser ? Peut-il imaginer qu’un mari est en train d’enculer sa femme, dans la cuisine, à la vue de tous. Enfin, pas tout à fait. Heureusement, le mari – moi, en l’occurrence – est plus petit que la femme et donc ne dépasse pas à la fenêtre. Avantage, les petits. Les grands ne peuvent pas goûter à ce plaisir. Baiser une femme sous les yeux d’un passant qui s’évertue à saluer cette femme qui ne le voit pas. Eh oui, les yeux de la femme sont ailleurs. Ses yeux regardent la queue qui la possède, qui glisse millimètre par millimètre dans son cul pour venir prendre possession et enfin planter le drapeau du propriétaire dans cette zone inexplorée. Qu’importe que ...