1. Travaux pratiques


    Datte: 22/01/2020, Catégories: fh, fhh, couleurs, couple, cadeau, cocus, vacances, anniversai, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, intermast, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, yeuxbandés, confession, couple+h, cocucont, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... après le toboggan de la croupe cambrée. Pluie fine sur la poitrine, que deux mains qui pressent les seins l’un contre l’autre transforment en torrent dans la vallée étroite ainsi créée. Ne parlons pas des gouttes rescapées qui vont se cacher dans les plis de la vulve.
    
    Voilà pourquoi je bande, ce qui ne peut pas échapper à Maude lorsqu’elle revient, rafraîchie, pour retrouver sa place à côté de moi.
    
    — Cela fait du bien. Tu devrais essayer.
    
    Je suis sûr qu’elle sourit en me disant cela. Je pense« Attends, coquine ; je vais te rafraîchir, moi… ».
    
    Pas la peine de vous faire un dessin. Sexe, sexe et encore sexe. Nous avons du retard à rattraper. Mais attention, sexe sage. Enfin, si cela existe. Je veux dire, classique ; notre classique. Je n’ose pas, elle n’ose pas plus s’essayer aux positions qui, pour l’instant, auraient le goût de la faute.
    
    Mais vous me connaissez, j’ai un plan.
    
    Je laisse passer quelques jours où nous roucoulons comme de jeunes perdreaux. Chaque matin, elle va faire son footing. Ce jour-là, alors qu’elle revient, je fais semblant de ne pas l’entendre, plongé dans le film que je regarde sur l’écran plat du salon. Bien sûr, tout est synchronisé. J’ai même monté le son. C’est le moment où Yanis la sodomise, sous mes yeux, dans notre chambre. Son cri résonne dans la pièce. Elle ne peut pas ne pas l’entendre, réagir.
    
    Elle s’approche, je la remarque, elle me dit :
    
    — Pourquoi tu regardes cela ? Tu te fais du mal. Je t’ai dit que ce n’était ...
    ... qu’un moment de folie.
    — Je ne peux pas m’empêcher d’y penser. Oh, ce n’est pas le fait que tu m’as trompée ; non : c’est toi, ton attitude, ton implication, ta…
    — Arrête. S’il te plaît. Il faut oublier.
    — Mais je ne peux pas. Tu es si belle, si sensuelle, si volontaire… Tu fais des choses… Cela me taraude le cœur. Pourquoi avec lui ? Pourquoi pas avec moi ? Je ne cesse de comparer, de me comparer avec… son… sa…
    — Mais c’est toi que j’aime. Pourquoi chercher à comprendre ? Oui, j’ai fait des choses avec lui, mais c’est comme cela. Il faut voir le bon côté. Nous nous aimons. Je t’aime. J’aime faire l’amour avec toi. Tu es un amant parfait. Attentif. À l’écoute. Tu me donnes du plaisir. Que demander d’autre ?
    
    Et, comme si elle venait de vraiment comprendre, elle me prend par la main.
    
    — Viens, laisse cette femme de la télé. Suis-moi…
    
    Dans la chambre, le lit encore défait ; elle fait glisser mon short, me pousse sur le lit, m’abandonne le temps de quitter ses vêtements et revient vers moi. Sa bouche s’empare de mon sexe à peine tendu. Elle le cajole, d’abord petite chose à l’aise dans son espace, puis bâton envahissant, plus difficile à circonscrire, au point qu’elle doit lâcher prise par moments pour reprendre son souffle. Moments que ses mains utilisent pour me branler et me caresser les bourses, question de bien montrer que ce n’est que partie remise. Elle m’embouche à nouveau, reine en gorge profonde, défiée par elle-même sur la télé, qui se doit de faire avec son ...
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