Le Donjon (2)
Datte: 19/01/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: Jieff, Source: Xstory
... bestialité.
Leur entrée n’est qu’un bon début.
La grosse, sortie d’un film de Fellini, frétille de toute sa graisse, soulève ses lourds lolos et, sans plus de manières, me les tend à l’horizontale, à deux mains. Je comprend ce qu’elle me demande. Je lui passe un soutif compliqué en sangles de cuir que je boucle à la racine des mamelles. Avec quelques plumes ce serait un parfait harnais pour cheval de cirque, un Percheron, pas moins.
C’est elle qui a choisi ce modèle pour me faire bander et - Pour que l’on n’oublie surtout pas de lui tripoter les nichons. Qu’elle m’a dit !
Des deux bras par derrière, avec le cul qu’elle a, j’ai du mal à en faire le tour sans fourrer ma bite entre ses fesses. Je serre les lanières pour gonfler ses mamelles de vache laitière. Elles s’épanouissent en montgolfières décorées de veines bleuâtres sur une peau blanche comme la craie, ses mamelons rougissent, se bombent en hernies, ses deux tétons grossissent et se dressent fièrement. Elle gémit, elle couine, elle m’inspire :
- Serre fort ! Plus fort Jieff ! Aye pas peur ! Le frangin, quand il se branle entre eux, il me les triture, me les pompe à les exploser et moi je lui broie les châtaignes. Aiiiiïe... Ouuuch ! Là, oui, Stop! Comme ça !
Une énorme poupée obèse, précédée de deux Zeppelins en route pour bombarder Londres.
En caricature de femelle animale, mamelons tendus, gonflés à huit kilos de pression, elle hoquète, tripotant ses chambres à air de poids-lourds.
— Oh... l. ...
... la v. vache !
— Je ne te le fais pas dire !
— Tu as expliqué à ton frangin ce qu’on a convenu ? Je ne veux pas qu’il cherche à m’enculer ni rien. Il ne me touche pas, compris ?
— T’inquiète pas Jieff, il obéira. Je lui ai promis des gâteries. Cette pouffiasse et moi nous occuperons seules de ton cul, de ta queue et de tes couilles. Lui aura suffisamment de trous pour se satisfaire. Surtout n’hésite pas! C’est un bœuf de labour à l’ancienne, comme la moutarde, oui ! A la cravache, à l’aiguillon on obtient tout de lui.
Précédée de ses deux citrouilles rougies, la graveleuse s’avance et s’agenouille aux pieds du malabar. Après lui avoir longuement malaxé les bosses à travers le satin, devant tes yeux, elle ouvre la trappe et lui dégage le machin. A travers les poils qui débordent, elle n’en finit pas de sortir la viande de son entrejambe. Sa bite pend bas sur ses cuisses, elle la soulève, la tord, comprend bien que cette chose t’excite autant qu’elle et joue à guignol devant tes yeux écarquillés. Elle crache dessus, ses mains d’obèse sont bien petites sous l’amas de chair humide. Elle la tripote, la balance de ses doigts, te l’exhibe, l’agite tout près de ton nez.
- C’est mieux que des photos hein ? Mate-moi cette saucisse de Montbéliard ! Elle te donne faim pas vrai ?
Il sent le sanglier, le mâle sauvage, l’homme de Cro-magnon, tu baves. Tu vois dans ses yeux à elle, aux bulles de salive sur ses lèvres entrouvertes le sacré plaisir qu’elle prend à manipuler ...