Le Donjon (2)
Datte: 19/01/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: Jieff, Source: Xstory
... enfourne sa trique jusqu’à ton nombril. Tes fesses et tes reins sont pris de tremblements. Tu jouis, tu cries, tu trembles, tu hurles. Ton corps délire en spasmes, se détend de sursauts en tous sens. Tes bras et tes jambes toujours prisonniers, c’est ton bassin, tes entrailles qui s’expriment et se lâchent. La puissance de tes contractions expulsent l’énorme membre.
Alors ton cul et ta chatte libérés se vident sous les pulsions de ton orgasme. Toujours à genoux, sous ta tempête, la gorge contractée par la tension obscène, je recueille dans ma main tremblante, sur le gode noir dégonflé, le mélange de merde, de mouille, de pisse et de foutre qui jaillit à flot et par giclée de tes deux trous largement ouverts.
Epuisée tu te cramponnes au cou de l’horrible brute. Le salaud dégénéré en profite pour t’attraper et te mordre les lèvres, les aspirer gloutonnement à pleine bouche, te griffer les joues, t’arracher les cheveux en poussant des cris de mammouth en rut.
La grosse, se précipite pour aller nettoyer de la langue le cul merdeux du frangin et revient vers moi à quatre pattes m’aider à lécher le gode et ton cul. Elle attrape ma bite dressée et entreprend de terminer la traite d’une main nerveuse. C’est le spectacle de ta jouissance qui m’a poussé à bout et maintenant me fait ...
... éjaculer. Le jet blanc jaillit vers tes fesses, vers sa bouche à elle. Il s’ajoute au sperme de son frangin et aux giclées abondantes de ton orgasme. Bouche béante, tant bien que mal, elle attrape au vol tout ce qu’elle peut happer de mon foutre.
Avec un grand râle, elle tombe à la renverse agitée de convulsions.
Elle hoquète, elle hurle, ses cuisses palpitent, ses graisses tremblent, ses fesses se soulèvent par saccades, ses jambons et ses bras moulinent l’air.
Tout ce temps, elle n’a cessé de se branler et ces odeurs, ces flots cumulés dans sa bouche, le summum du délice, la font jouir en éruption volcanique.
Debout contre toi, je t’attrape par la taille, te détache du colosse et te jette sans ménagement par terre entre ses jambes écartées. Assez vite pour que son orgasme gicle vers toi. En pleine figure, tu reçois les longs jets de sa mouille. J’y ajoute les dernières gouttes de mon foutre en secouant ma queue au dessus de ta bouche. Tu gémis.
Je te laisse essuyer de la main tant bien que mal ton visage ruisselant:
— Allez pouffiasse montre-moi que tu aimes ce qui te dégoûte tant. Lèche-moi les dix doigts, ils sentent bon de trucs répugnants et de tes liquides de pute en chaleur.
Pâmée, les yeux retournés, en femelle avide et vorace, tu me les suces avec conviction.