1. Le Donjon (2)


    Datte: 19/01/2020, Catégories: Divers, Auteur: Jieff, Source: Xstory

    ... Elle se saisit de ma cravache et, l’exhibant avec l’orgueil d’un manager avant combat, à petits coups secs, le fait pivoter, jouer des biceps, rouler des épaules et des jambes, nous fait miroiter sous toutes les coutures son corps en relief.
    
    L’ayant plié en deux, cul offert sous ton nez, jambes écartées, ses gros doigts boudinés pincent avec férocité et conviction des couilles de cheval et des fesses pneumatiques. Il faut voir avec quel délice, elle y plante ses ongles griffus. Langue sortie, baveuse, elle tend le tissu sur son fessier montagneux. Le collant transparent nous révèle un trou du cul ayant pris avec le temps les dimensions d’un cratère de volcan. La brute, ravie des projecteurs, anime ses muscles, y fait jouer des reflets aux ondulations expressives. J’imagine bien une salle au public féminin chauffée au rouge applaudir à fendre les murs ce colosse trépignant.
    
    - Vise-moi ça la bourge ! A Paris, t’en as pas vu beaucoup des comme ça... Pas vrai ?
    
    Attachée comme tu l’es, tu ne peux pas bouger, mais rien ne t’échappe.
    
    Je lis de l’excitation et peut-être de la peur dans tes yeux. Tes lèvres frémissent, ton corps vibre, arc bandé. Je ne rate rien de tes réactions.
    
    Tu es bien la femme que promettaient tes photos! Celles qui me faisaient rêver, triquer dur, me branler longuement et gicler dans ma main en imaginant que, le nez plongé dans tes lectures d’hôtel, tu m’offrais ton cul grand ouvert, demandeur et palpitant.
    
    La grosse ? A poil ! Bandante ...
    ... pour qui, comme moi, aime aussi les femelles dodues avec un gros cul, des cuisses à cellulite, des mamelles de laitière et des tétons géants.
    
    La quantité ? Certes elle y était ! La qualité ? A voir. Mais de ce qu’elle m’avait appris d’elle, ça promettait.
    
    Je n’ai pas vu de photos de gouines dans ta collection. Tu sembles préférer les bites de chiens aux clitoris ! J’espère que te faire tripoter, branler, sucer et pire par une femme telle que la frangine va ajouter à ton humiliation.
    
    Sa peau très blanche est parcourue de veinules violacées, de plus c’est une velue ! Une forêt de poils noirs joint son nombril à son pubis touffu, s’étale large et garnit jusqu’à l’intérieur de ses cuisses. Un entrejambe de femelle chimpanzé ! Le contraste parfait avec tes formes longilignes, ta chatte épilée, ton bronzage intégral de citadine à crème solaire. Ce sont des gens du cru, à la chair blanche de paysans. Les marques du grand air, au cou, aux bras accentuent la blancheur de leur intimité. Pas le genre à traînasser dans un transat au bord d’une piscine, qu’ils n’ont d’ailleurs pas.
    
    Tu rêvais de te faire lécher, saillir et enculer par des chiens, monter par des chevaux. Ta bouche s’ouvrait à l’idée de sucer des bites de boucs en rut. Eux nous offrent le spectacle d’un taureau niais tenu en laisse par une vache laitière suant de tous leurs pores un flot de sexualité obscène.
    
    Question zoo, avec eux tu es servie ! Et moi, patron à cravache, je suis aux premières loges de cette ...
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