Le Donjon (2)
Datte: 19/01/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: Jieff, Source: Xstory
... langue ? Mon impression à tes yeux exorbités, est que, malgré tes grimaces dégoûtées, je voyais bien que tu y prenais un plaisir obscène. Ou peut être cette infecte nourriture te rassasiait-elle ?
La grosse n’avait pas menti en disant qu’elle aimait qu’on s’occupe de ses mamelles. Tandis que tu la léchais, et dieu sait qu’elle avait de la surface à traiter, elle ne manquait pas de t’obliger à lui mordiller les tétons et à lui croquer les mamelons à pleines dents. Tu n’avais jamais été aussi humiliée, sucer ta propre dégueulasserie sur les nichons d’une obèse? Non ! ça tu ne connaissais pas.
Excité par toutes ces odeurs, le gros dégueulasse se précipite en bavant et te lape à son tour de sa langue de boeuf. Après cinq minutes, je n’en crois pas mes yeux, tu brilles comme un sou neuf. Tu n’as même pas besoin d’une douche et Ducon mâchouille, avale, se lèche les babines en roulant des yeux fous.
Epuisés, nous-nous écroulons à terre. Je fais passer une bouteille de whisky. L’ambiance est au goulot et au repos. Tes yeux ne quittent pas l’énorme gourdin du mastard. Molle, allongée sur sa cuisse elle t’excite encore.
— Si j’allais faire du café pour nous maintenir en forme ?
La frangine n’attend pas nos réponses et se lève difficilement. Je vois qu’elle tremblote de toute sa cellulite.
Ouf, un peu de repos. Je t’ai libéré de tes chaînes et t’ai assise en tailleur face à moi. Mon regard erre de ton huître grande ouverte - qui n’est plus un fruit de mer mais une ...
... entrecôte saignante - à tes nichons gonflés et je sens revenir une trique démoniaque. La grosse revient avec quatre tasses:
— Tu te souviens de ce qu’on avait décidé ?
— Oui, oui, très bien... Tu as ce qu’il faut ?
— Regarde-moi ça.
Elle me montre du menton, dans un coin, un tas d’objets en cuir, en caoutchouc, en plastique opaque ou transparent, noir ou rose. Au milieu de l’enchevêtrement de chaînes rouillées et de sangles de cuir, y a là de quoi débrider l’imagination d’un club de libertins en rut. Elle a dévalisé un sex-shop, moi un maréchal-ferrant.
Je te soulève, tu te laisses faire. et te porte vers le mastard. Sa frangine le guide, je te plante dans ses bras. Une sangle en cuir passée sur ses épaules de géant puis sous tes cuisses, une autre vous ceinturant à la taille et vous êtes accouplés serrés, lui crapaud, toi grenouille. Ton corps le ventouse, jambes larges ouvertes et nichons écrasés, plaqués à son torse musclé. Ta chatte est à hauteur idéale pour y fourrer sa queue. La grosse saisit le gros tuyau de viande et le plie juste à hauteur de ton huître. Elle presse à pleines mains les couilles du costaud. Son membre se redresse brutalement et s’engage profond dans tes chairs dégoulinantes. Derrière lui, au-dessus de ses fesses, d’une courroie je te ligote les chevilles et boucle l’attelage.
J’ai une érection d’enfer. Avec la grosse nous contemplons notre œuvre.
— Putain ! je mouille comme jamais !
Remarquant que l’engin énorme ramollit, déborde ...