1. Le gamin du pensionnat


    Datte: 18/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Auteur: charime, Source: xHamster

    ... je resterais ici. Oh, j’oubliais, notre mère sup et sa si belle différence.
    
    - Ah ça, c’est vrai qu’elle nous a tous scotché avec sa biroute. Surtout qu’elle sait magnifiquement s’en servir
    
    - Et elle est si étroite, comme toi, tiens. Bon, j’ai la dalle, on y va ?
    
    - Tu ne mets rien ?
    
    - Ben non, s’il faut baiser ou être baisé, autant y aller à poil.
    
    - Tu as raison, on y va !
    
    Dans la vaste cuisine du pensionnat, les novices mettent la table. Comme nous, elles sont entièrement nues. D’après sœur Emmanuelle, c’est même une règle absolue en l’absence des élèves. Si, elle porte bien un bout de vêtement, leur coiffe et des chaussures à talon haut. Avec ces hauts talons, cela met encore plus de piment à la chose. Ces nonnes deviennent encore plus attirantes, les jeunes comme les plus âgées. Perso, j’adore ces corps. L’âge, le corps de celle que je baise m’importe peu si je peux faire jouir et prendre mon pied. Aussi, seul mâle dans ce coin remplit que de femmes, et avec la bénédiction de la mère sup, mes mains ne se gênent plus pour palper, caresser et même fesser si l’occasion se présente. À table, la novice que j’enculais durant les matines, se glisse sous la table, avec moi assis près de la mère sup, elle se met à nous sucer et nous branler à volonté et avec notre bénédiction. De ce samedi merveilleux au dimanche, peu avant l’arrivée des élèves, les seules prières que j’entends, ce sont des exclamations de plaisirs ou de douleur. Même que je donne mon cul à ...
    ... Martine qui me le fesse de manière démoniaque et si jouissive pendant que je baise sœur Emmanuelle la Bien-Nommée, la plus âgée des nonnes, du haut de ses 69 ans. Magnifique corps qu’elle possède encore, mes caresses, comme mes coups de rein n’ont de cesse de la faire jouir jusqu’à demander grâce quand sœur Marie-Madeleine soulage sa vessie dans sa bouche. Laissons là ce divin week-end, d’autres sont à venir, plus exquis encore.
    
    S’il est un chose qui nous rend fou, ce sont bien les vacances, c’est ce que tous rêvent une fois de retour de week-end. Quitter ces murs pour rejoindre nos parents, ne plus subir les supplices de ces nonnes plus dévergondées que ce monde qui nous entoure. Dans ma ville, après le car de la poste, j’y arrive par le train, fatigué après une matinée bandante autant que jouissive. Après une journée de train sans fin, sur le quai, personne n’est là pour m’accueillir, sympa la famille. Mince, ils sont aux vêpres. Ben oui, vu l’heure. Ok, à pied, je marche le long de la route quand une voiture s’arrête à ma hauteur. C’est une femme d’une bonne trentaine d’année qui m’interpelle.
    
    - Montez, jeune homme, je vous conduis chez vous.
    
    - Ce n’est plus très loin, vous savez.
    
    - Je sais, oui, mais le temps est à l’orage.
    
    Et le tonnerre gronde au même moment, accompagné d’un éclair menaçant. Autant dire que je jette ma valise à l’arrière de l’auto et que je me glisse à l’intérieur vite fait. Ma valise sur le siège arrière, la conductrice avise l’étiquette qui y ...