1. Le gamin du pensionnat


    Datte: 18/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Auteur: charime, Source: xHamster

    Chapitre 3 : le gamin chute dans les profondeurs du vice
    
    - Ma fille, seulement à ta majorité. Nous ne pouvons te prendre avec nous tant que tu n’es pas en âge de décider sans tes parents. Seulement à ce moment, nous te prendrons avec nous. Tu sais ce que tu subiras ?
    
    - Non ma mère, mais il me tarde de savoir.
    
    - Ta première année, ces novices peuvent te le dire, douleur, peu de plaisir, soumission à nos règles très sévère, nos plus bas instincts. Puis, durant la seconde année, la douleur s’adoucit, plus de plaisir et soumission sans faille à nos vices, nos ordres. Le jour où nous te sentirons prête, prête à tout accepter, tu prononceras tes vœux dans une bacchanal durant laquelle tu te donneras à nous sans aucune réserve, sans plus aucun tabou, ma fille. Dès cet instant, tu seras des nôtres. Dès cet instant, nous, les anciennes, nous ferons de toi ou une servante comme cette salope de Gisèle ou une institutrice peu vertueuse et diaboliquement sévère envers tes élèves. Il te faudra nous faire montre de ta grande sévérité, de ton manque de pitié quand le moment de punir viendra. Il te faudra nous prouver que tu es capable de prendre ton pied en punissant nos élèves.
    
    - Je vois, ma mère. En fait, vu ce que je vis depuis peu, ne peut-il pas être possible d’être soumise et dominatrice. Dominatrice envers les élèves, cela va de soi.
    
    - Bien entendu. Cela dit, dans ce cas, c’est en portant le cilice que tu éduqueras tes élèves. Soumise, on ne l’est pas qu’en dehors des ...
    ... cours que nous dispensons, ma fille.
    
    - Je sens que le vice ne vous a jamais quitté, ma mère.
    
    - Parce que je suis ici depuis ma septième année, ma fille. C’est ici que j’ai vécu la plupart de ma vie. C’est ici que je me suis vue admirée pour ma différence. J’ai été abusée de bien des manières, pas toujours jouissives. Je n’ai quitté ce lieu de perdition que pour enterrer ma famille, mes proches.
    
    Je la regarde, elle y voit, dans mes yeux, tous mes désirs, toutes mes envies. Cette mère supérieure vient de nous avouer l’origine de ses vices les plus immoraux. Mais, il y a cette question que me hante depuis un instant, d’où vient cette furieuse envie de souffrir et jouir, de faire souffrir et jouir ou, comme dans le cas de Martine et moi, de nous faire souffrir, en éprouvé du plaisir et nous faire jouir, nous les ados.
    
    - Mon fils, pour toi, la chose n’est malheureusement pas possible. Crois-moi ou pas, s’il nous était possible de changer une virgule de nos règles ancestrales. Nous voudrions le faire, rien que pour te garder ad-eternam. Mais pour cela, seul la plus haute autorité de notre église est à même de modifier nos règles. Crois-moi, tu n’es pas le premier pour qui nous voudrions le faire. Seulement, cela prendrait des années avant que cela ne change.
    
    - Une bien triste nouvelle, ma mère.
    
    - Oui mon fils, une triste nouvelle pour nous tous. Mais que cela dise, il te reste quelque chose comme trois ans à passer parmi nous. Alors, prend plaisir à baiser celles ...
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