1. Le gamin du pensionnat


    Datte: 18/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Auteur: charime, Source: xHamster

    ... que nous te donnerons, mon cher fils. Ce sera une bien faible compensation en regard de ce que tu as subi.
    
    - La compensation, c’est celle du malin ou celle de votre congrégation qui n’a eu de cesse que de m’humilier, me punir plus sévèrement et plus souvent que toutes les filles.
    
    - Cela, jamais tu ne nous le pardonneras, mon fils, c’est bien exact ?
    
    - Ma mère, je ne suis pas de nature rancunière. Aussi, si pendant ces trois années qui me restent à vivre en ce lieu, si je pouvais assouvir une partie, par la vengeance, des sévices reçus. Je ne vous cache pas que j’en aurais d’immenses plaisirs.
    
    - C’est du domaine du possible, mon fils. Mais pour cela, Martine devra faire serment de ne jamais rien rapporter de ce qui se passe en ces murs.
    
    - Ma mère, je vous en fais le serment le plus solennel qui existe. Que je sois maudite à tout jamais si je venais à divulguer les secrets de ce pensionnat.
    
    - Une malédiction ? Non, certainement pas. Mais amenée ici, tu y serais punie des semaines durant pour te le faire regretter amèrement. Et là, plus question que tu enseigne, ma chérie. Cachot, tâches ingrates, baisée, enculée, tu ne servirais que nos plaisirs les plus vicieux, ma belle.
    
    - Alors, si je parle, qu’il en soit ainsi, ma mère.
    
    - Bien, il est grand temps de faire manger. Gisèle ! Oh, Christian, s’il te plait, retire son écarteur et qu’elle nous montre comment elle avale très lentement tes selles, mon cher fils.
    
    À genou, la tête en arrière, le corps bien ...
    ... droit, elle avale mon étron comme ordonner par la mère supérieure. Puis, nourrie de mes selles, nous l’abandonnons dans la cage qu’elle habite quand elle n’est pas servie pour les plaisirs sadiques des nonnes. Je regarde Martine, montrant cette cage.
    
    - C’est là que tu vivras si tu venais à parler. Je viendrais personnellement te torturer et y prendre mon pied.
    
    - Christian, tu sais que cela pourrait me plaire, si toi et les nonnes, vous veniez à vous servir de moi pour jouir de vos vices les plus cruelles.
    
    - Je te crois volontiers depuis que je t’ai vue te faire flageller en classe et être à deux doigts de jouir. J’aurais donné cher pour que tu me suce pendant le temps de cette jolie punition.
    
    - Mais dis-moi, deviendrais-tu comme ces sœurs, un vicieux sadique.
    
    - Ma foi, comment devenir autrement. J’avoue que le simple fait de fesser un bon gros cul n’est pas pour me déplaire, de voir sœur Gisèle de la Compassion me bouffer mes selles, ça me fait bander. Et puis, te voir boire ma pisse, celle ces nonnes vicieuses, ça me fait bander et jouir.
    
    - Jeune ou vieux, le cul ?
    
    - Peu m’importe. Regarde-moi, j’ai baisé une quadragénaire, la mère sup, une novice, pas encore 20 ans, j’ai enculé dans une chapelle, l’autre novice à peine 18 ans. J’ai défloré la plus belle fille de tout le pensionnat. Je l’ai même fessée. Je crois que oui, j’aime baiser, enculer, mais j’adore fesser, c’est certain.
    
    - Sadique, alors.
    
    - Comme nos nonnes. Je crois que si je le pouvais, ...
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