Douce rencontre avec Amélie - Histoires de Sexe

Douce rencontre avec Amélie

... ou pas. Dans ma lancée, je continue vers sa raie des fesses, et mon doigt glisse à plusieurs reprises sur son périnée, puis sur son anus. Visiblement elle adore. Mais sa réaction ne se fait pas attendre.

Elle me fait comprendre qu’elle veut que je me mette sur elle. Je me redresse, lui écarte les cuisses. On s’embrasse et mon sexe glisse à l’intérieur du sien. Sensation enivrante de douceur chaude et moelleuse. Je sens que je n’arriverai pas à durer bien longtemps. Ses mains se posent sur mes fesses, d’abord pour donner une cadence au rythme de la pénétration, ensuite pour me caresser. Subrepticement, ses doigts parcourent la raie de mes fesses. Puis elle mouille un de ses doigts et le passe directement sur mon anus. Je ne sais pas trop comment réagir, j’ai l’impression que sa liberté n’a pas de limites. La sensation n’est pas désagréable, je trouve même ça plaisant. Je sens qu’elle prend plaisir à me masser l’anus pendant que je la pénètre, c’est presque une façon de se déclarer égaux.

Soudain, je sens son corps se crisper, parcouru par un intense frisson de plaisir. Ça débloque en moi l’envie de jouir avec une force décuplée. Pendant quelques secondes, tout mon corps semble se réduire au fluide qui se répand en elle. C’est délicieux et extrême. Puis, plus rien.

UN PEU PLUS TARD

Il s’est peut-être passé une heure, peut-être moins. J’ai joui très fort, puis j’ai sombré, sans transition. Amélie est à côté de moi, elle dort sur le côté. Ses fesses sont au repos, ...

... comme posées l’une sur l’autre. Je me rapproche d’elle, ma queue est revenue à son maximum de dureté. En me collant contre son dos, j’essaye d’encastrer ma bite quelque part entre ses fesses. Elle glisse entre les deux globes de chair et trouve instinctivement la fente d’Amélie, encore mouillée. Je commence quelques va-et-vient, elle commence à sortir de sa somnolence. Une de ses jambes se lève pour que la pénétration soit la plus profonde possible. Mon bassin cogne contre ses fesses et un son de petite claque chair contre chair se fait discrètement entendre.

Amélie me fait comprendre qu’elle veut se mettre à quatre pattes. Elle laisse sa tête sur l’oreiller et dresse son derrière en hauteur, en ouvrant ses fesses au maximum. Cette fois, la pénétration est maximale et mon gland trouve à plusieurs reprises le fond de son vagin. Je vois son anus juste au-dessus de l’endroit où s’enfourne ma bite, c’est un petit œillet brun sans aucun poil qui dégage une petite odeur âcre. Je prends plaisir à penser que c’est son odeur la plus intime et qu’elle me l’offre sans restriction. J’ai toujours adoré la sodomie et l’idée me traverse l’esprit plus d’une fois en l’espace d’une minute. Finalement, j’extrais mon sexe de son vagin et pose mon gland à l’entrée de l’autre orifice. Sa main prend ma queue pour la faire glisser le long de son anus plusieurs fois de suite. La caresse est divine mais je ne vois pas où elle veut en venir. Finalement, elle finit par replacer mon sexe vers son vagin. ...