1. La vengeance et la haine


    Datte: 18/01/2020, Catégories: fh, ff, hplusag, oncletante, copains, humilié(e), vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, délire, aventure, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... de Brassens qui reviennent encore aujourd’hui dans mon cœur :
    
    Par contre, il y avait presque un côté comique à le voir éternellement s’attarder sur nos fesses pourtant maigrichonnes, sur nos seins qui n’étaient pas au meilleur de leurs formes ou sur nos chattes qui, me semblait-il, portaient encore les stigmates de ce qu’elles avaient enduré… À côté de cela, notre homme n’avait jamais le moindre geste déplacé, nous parlait comme n’importe qui le ferait avec n’importe quelle femme… Et ça, pour nous, c’était un sacré changement !
    
    Le soir, nous dormions toutes deux dans le même lit, Jennifer et moi, corps contre corps. À une certaine époque et dans une telle situation, je sais que tout cela aurait forcément dérivé sur une relation saphique – ou une gouinerie effrénée, si vous préférez – d’autant que nous savions que nous aurions eu un observateur qui n’aurait rien perdu du spectacle et qui n’aurait pas pour autant franchi la ligne blanche. Était-il impuissant ou quelque chose comme ça ? Nous ne le saurons sans doute jamais… Quoi qu’il en soit, nous étions dans un tel état de fatigue que jamais l’idée ne nous effleura l’esprit. Avec le recul, je me dis que nous aurions bien pu lui offrir ce petit plaisir, compte tenu que sans lui, nous ne serions probablement plus de ce monde.
    
    Naturellement, nous n’allions pas rester chez luiad vitam æternam…Alors, profitant d’une de ses absences où il était parti pêcher, nous primes le temps de lui écrire rapidement une lettre où ...
    ... nous lui exprimions toute notre reconnaissance, mais que nous étions malgré tout dans l’obligation de nous barrer, quitte à lui voler quelques vieilles fringues, histoire de ne pas provoquer d’émeute en nous baladant à poil.
    
    Une fois en ville, le problème restait entier : notre plan était de se trouver un consulat français, de lui expliquer ce qui s’était passé et, soyons définitivement folles, de rentrer en France aux frais de la République même s’il faudrait bien évidemment la rembourser à un moment ou à un autre.
    
    Sauf qu’il ne fallait pas rêver, des consulats français dans un aussi petit pays… Non, notre seule porte de sortie, ce serait l’ambassade de France, située comme de bien entendu dans la capitale, à savoir à plus de trois cent bornes de là. Autant dire que nous n’avions pas le cul sorti des ronces, et qu’il allait encore falloir se démerder…
    
    Comme souvent dans ce genre de situation, le début de la solution vint de là où ne ne l’attendions pas. En pleine rue, un type que nous n’avions jamais vu se retourna sur nous et nous glissa une carte de visite dans la main.
    
    — Vous êtes mignonnes, les filles, et vous semblez avoir besoin de fric…
    
    Il faisait forcement allusion à nos vieilles frusques bien trop grandes pour nous et surtout passablement déchirées.
    
    — Le proprio de ce bar cherche des filles pour danser. Allez-y donc de ma part, il y a un peu de thunes à ramasser…
    
    Inutile de dire que c’est à reculons que nous nous étions rendues dans le troquet en ...
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