1. La vengeance et la haine


    Datte: 18/01/2020, Catégories: fh, ff, hplusag, oncletante, copains, humilié(e), vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, délire, aventure, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... fit que j’eus finalement assez peu de mal à faire mine de le croire.
    
    Ce qui déclencha les hostilités, une petite semaine plus tard, ce fut lorsque Pamela – une ravissante Américaine venue au Bélizera avec une ONG pour s’occuper des orphelins des bidonvilles – perdit subitement la raison. La seule réaction de l’équipage fut alors dans un premier temps de la tromboner une fois de plus par tous les orifices avant tout simplement de lui coller deux balles dans la tête et de la balancer par-dessus le bastingage avec la considération que l’on attache à un mégot de cigarette. Dès lors, il fallait faire vite, très vite…
    
    Ce jour-là, notre cher président Ernesto avait décidé de rejoindre la capitale en hélicoptère, laissant le navire à la fois près des côtes et avec un équipage minimum… C’était le jour J, l’heure H ! On nous avait affectées au nettoyage de l’orgie de la veille et il avait suffi d’un moment d’inattention de la part de nos gardes pour que Jennifer, Lulu et moi sautions par-dessus bord avec un plan bien huilé : nous savions que nous n’aurions sans doute pas encore touché l’eau que tous les flingues disponibles auraient commencé à nous canarder, juste avant qu’une tapée de zodiacs soient lancés à notre recherche.
    
    Il fallait faire vite… Plonger sous le bateau pour en ressortir de l’autre côté, et profiter de l’agitation pour remonter à bord et se procurer des armes. Malheureusement, nous ne revîmes jamais Lulu et nous ne sûmes jamais ce qui lui était ...
    ... arrivé.
    
    Pour une fois, le ciel fut avec nous : la porte de l’armurerie était restée ouverte, c’est presque tranquillement que nous pûmes donc rafler deux énormes pétards munis de silencieux ainsi qu’une flopée de chargeurs et à partir de ce moment-là, ce fut la curée… Combien en avons-nous dessoudé, ce jour-là ? Trente ? Quarante ? Je ne saurais dire… De toute façon, du cuistot au capitaine, de l’opérateur radio au mécano de bord, tout le monde à bord de ce rafiot s’était servi de nous pour se vider les couilles et notre haine était donc sans bornes.
    
    Le seul qui eut un traitement de faveur fut le bosco… Et à cela une bonne raison : son truc à lui, cela avait été de réinventer la gégène telle que les anciens d’Algérie la concevaient. Ça, pour t’attacher les bras en croix sur une poutrelle, te flanquer les mêmes pinces que celles que l’on utilise lorsque l’on branche une batterie sur les nichons ou sur la chatte et, bien entendu, tourner la manivelle, il y avait du monde !
    
    Et donc, selon le vieux principe qui veut que les petits cadeaux entretiennent l’amitié, nous lui avons gardé un chien de notre chienne : un formidable coup de crosse sur la cafetière et nous l’attachions plus que solidement à l’endroit précis où il aimait tant nous tourmenter. Lui griller les burnes à la gégène ? J’avoue que cela ne nous aurait pas déplu… Mais nous n’en avions pas le temps ! C’est Jennifer qui eut alors eu l’idée du siècle : prendre un bout de fil de fer, lui entourer autour des couilles et ...
«12...678...36»