1. La vengeance et la haine


    Datte: 18/01/2020, Catégories: fh, ff, hplusag, oncletante, copains, humilié(e), vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, délire, aventure, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... plein cagnard. Déchirés comme ils l’étaient, ils n’entendirent pas ses supplications et ses hurlements lorsque la soif s’ajouta à la brûlure du soleil. Lorsqu’ils la détachèrent enfin, il était environ dix-neuf heures, mais il était trop tard : elle était partie pour un monde qui, à en juger par ce qui se passait autour de nous, ne pourrait être que meilleur. Dire qu’elle s’est éteinte à quelques mètres de moi sans que je n’aie jamais pu lui dire à quel point je l’aimais…
    
    Dès lors, il devint évident que je ne parviendrais jamais à trouver l’occasion de m’échapper en m’y prenant de la sorte… Ernesto voulait ce qu’il appelait des zombies, c’est-à-dire de véritables esclaves suffisamment résignées pour ne plus jamais se rebeller ?
    
    Je parvins à convaincre Jennifer et Lucienne, deux des autres filles, de jouer le jeu, mais les autres s’y refusèrent. D’une certaine façon, cela valait mieux comme ça : si nous avions subitement, toutes arrêté de nous révolter, cela aurait sans doute paru suspect ! Toujours est-il que le samedi d’après, c’est debout que nous sortions de nos cages… En effet, Ernesto organisait quasiment tous les week-ends des soirées avec ses amis où les filles – nous avions maintes fois assisté à son petit manège –, en plus d’assurer le service, étaient offertes aux invités qui pouvaient en user et abuser autant qu’ils le voulaient.
    
    Bien sûr, nous savions que nous serions surveillées et nous dûmes donc jouer le jeu sans jamais protester, aller au-devant de ...
    ... la queue du type le plus immonde qui soit, réussir à faire bander les vieux déchets, lécher les vieilles moules comme si notre vie en dépendait… Ce qui n’était jamais que l’exacte vérité, d’ailleurs !
    
    Un soir, Ernesto me convoqua dans sa cabine… Que faire ? L’insulter ? Non seulement cela n’aurait servi à rien, mais, tout au contraire, cela aurait réduit tous mes efforts à néant. Piquer une bouteille de champagne et, comme cela se fait dans les films, lui fracasser sur le crâne ? C’était beaucoup trop risqué ! Il faut tout de même savoir que le gaillard faisait un mètre quatre-vingt-quinze de muscles, avec des bras comme mes cuisses et dans les forces spéciales de la révolution, il tenait accessoirement le rôle d’instructeur principal. Autrement dit, le buter, c’était mission impossible.
    
    Alors, je n’ai rien dit et, comme avec les autres, je me suis laissé faire… Ma chatte, mon cul, ma bouche ? Si tu savais à quel point je n’en avais rien à foutre ! Il ne m’a rien épargné, même pas quelques commentaires sur mon père qui, soi-disant, pleurait avant même d’être torturé et l’aurait imploré pour que je subisse les supplices à sa place… Que ma mère était la dernière des putes et qu’elle n’aurait convolé en justes noces que pour pouvoir rester auprès de lui… Que c’était lui qui lui avait soufflé mon prénom, Jessica, et qu’elle avait trouvé l’idée fabuleuse…
    
    Ben voyons ! Par bonheur et en leur temps, mes parents m’avaient brossé un tableau assez fidèle du personnage, ce qui ...
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