Qui fait l'ange fait la chienne (2)
Datte: 17/01/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: blueyes, Source: Xstory
... petite gueule de pute m’excite trop... !
... Les va-et-vient s’accélèrent...
— Putain de chienne, tu me fais venir !!!
... Le porc extirpe précipitamment son pieu de chair de mon orifice...
Il l’agite frénétiquement... Avec sa main, ce mouvement de branle hypnotique... Un grognement bestial...
— Je viens... Chienneeeeee...
... Une glaire épaisse gicle, s’écrase sur ma joue... dégouline sur mon cou...
— Tiens ! Prends-toi ça !
... Je ferme les yeux pour ne plus voir le jaillissement de la semence, ne plus subir le contact de cette queue immonde, qui appuie, qui presse, qui étale la purée infâme, qui défigure ma face. J’aimerais aussi être sourde...
— Tu aimes que je te tartine avec du foutre, hein, grosse cochonne...
... sourde à l’inacceptable consentement...
Quand j’ouvre à nouveau les yeux, le porc, a fini de se soulager, il me tourne le dos, en remontant son froc, déjà en train de s’éclipser.
Je suis enfin seule. Souillée. Lasse. L’esprit embrouillé. Je veux oublier le masque de sperme collé à ma peau. Je veux dormir. Au réveil, je serai pure...
Mais la honte, le matin. Le mal de crâne. La nausée. Aux narines, une odeur grasse persistante, qui annonce l’infamie : sur mes joues et mon menton, cette matière séchée, écaillée, cette croute de sperme crachée par un parfait inconnu sur mon visage.
Une réminiscence si compromettante... Impossible à effacer... Mais au moins, la dissimuler. La maquiller...
D’ailleurs, avec Thibaud, ...
... la perspective était radicalement différente. Je l’aimais. J’étais en dette envers lui. Je n’avais pas été à la hauteur de ses attentes. Se faire pénétrer par la bouche était, certes, extrêmement cochon, mais il fallait envisager cet acte très intime, non pas comme un avilissement, mais comme un geste d’amour. La femme communiait ainsi avec la puissance de son homme. Elle rendait hommage à sa vigueur. Un délicieux cercle vertueux : en goûtant à cette virilité, elle la nourrissait, la renforçait et en profitait d’autant. Jusqu’à une certaine limite infranchissable : jamais, au grand jamais, je n’accepterai qu’il jouisse dans ma bouche.
Les atermoiements gagnaient en intensité alors que je poursuivais mes préparatifs. Car en m’employant à rehausser mes appas, je soulignais d’autant mes contradictions. J’avais toujours méprisé les coquettes, les aguicheuses, toutes celles qui ne vivent que pour plaire aux hommes, qui consentent à n’être que des potiches. Et voici, qu’à mon tour, j’enduisais mon corps de crème hydratante, pommadais ma chair d’une huile d’amande douce pour en accentuer l’élasticité, le moelleux, à seule fin de me rendre plus appétissante. Moi qui ai toujours privilégié les vertus de l’esprits et de l’intelligence, je me réduisais volontairement au statut d’objet sexuel. Mais comment faire autrement ?
Preuve incontestable de ma pudicité : je n’avais même pas de string ! Au terme de l’inventaire détaillé de mes sous-vêtements, pour parer ma vertu, je dus me ...