1. La fibre ou la vie


    Datte: 16/01/2020, Catégories: ff, ffh, cocus, vidéox, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jouet, yeuxbandés, confession, vengeance, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... reprends en la fixant dans les yeux :
    
    — Jamais. Non jamais je n’ai simulé…
    
    Mais cela ne calme pas la colère de ma femme.
    
    — Même, et même si c’est vrai, tu m’as piégée. Tu m’as fait faire des choses… Oh, mon Dieu, quand j’y pense. Jamais je n’aurais fait… Tu m’as séduite. C’est toi qui m’as dirigée pour arriver à tes fins. Tu m’as pervertie…
    — Chérie ! dis-je. Sans vouloir prendre la défense d’Astrid, il faut reconnaître qu’elle ne t’a pas forcée, et que…
    — Mais comment peux-tu penser ?
    — Je ne pense pas, je constate. Le premier jour, tu aurais pu la repousser.
    — Oui, mais… surprise… piscine… amies…
    
    Julie ne fait pas de phrases, mais ses mots lui rappellent les circonstances.
    
    — Mettons que, par peur du scandale, tu n’as pas fait d’esclandre, mais le lendemain. Tu oublies que j’ai visionné vos rencontres et que le lendemain tu l’attendais en robe d’été et rien dessous. Cela m’a rappelé des souvenirs d’ailleurs… (Julie baisse la tête). Le lendemain, et les autres fois aussi. Je ne t’ai jamais vue protester, au contraire. Veux-tu que nous regardions les enregistrements ensemble… C’est très parlant…
    — Jean, excusez-moi encore. C’est de ma faute. Julie n’a fait que…
    — Non Astrid, c’est aussi ma faute. Tu restes une salope pour moi, mais je reconnais que tu as réveillé des souvenirs en moi et que je me suis laissé emporter par la suite…
    
    Un silence et elle reprend :
    
    — Qu’allons-nous faire ? Jean, mon chéri, je suis désolée. J’ai fait une erreur. J’espère ...
    ... que tu me pardonneras.
    — Je voudrais te poser une question.
    — Oui ?
    — Tu as dit à Astrid que tu avais été au courant de ma liaison, que tu avais hésité à te venger, mais que tu ne l’avais pas fait et que pendant toutes ces années tu avais été fidèle. C’est vrai ?
    — Oui.
    — Je m’excuse pour cet écart de ma part. Un moment de faiblesse…
    
    J’hésite et :
    
    — Un peu comme toi avec Astrid. On pourrait dire que, d’une certaine façon, nous effaçons l’ardoise.
    — Oh merci, mon chéri. Je suis désolée que toi tu aies dû supporter la vision de mes faiblesses.
    — Oh, ce n’était finalement pas si désagréable à regarder.
    
    Cette remarque m’est venue sans réfléchir. C’est vrai qu’une fois la surprise passée, les « évolutions » de ces deux femmes ne manquaient pas de beauté sensuelle, d’érotisme et je n’ai pas peur de le dire carrément pornographique dans certains « mouvements ».
    
    Julie « digère » mon aveu, mais Astrid profite de ce moment de pardon et d’aveux intimes pour essayer à nouveau :
    
    — Je peux partir ? Prenez la mémoire de ma caméra. Je n’ai pas d’autres copies. Je vous promets que jamais je ne parlerai de cela. J’espère que vous me pardonnerez. Mon mari ne mérite pas d’être puni par ma faute.
    — Ah, non, tu ne vas pas partir comme ça. Toi et moi devons remercier Jean de son pardon. N’est-ce pas, chéri, que tu lui pardonnes aussi ?
    — Je ne vais pas gâcher la vie d’Alain à cause d’une entourloupe, heureusement ratée de sa femme.
    — Tu vois. Il te pardonne… Il mérite bien ...
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