La fibre ou la vie
Datte: 16/01/2020,
Catégories:
ff,
ffh,
cocus,
vidéox,
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
yeuxbandés,
confession,
vengeance,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... les i. Vous avez failli réussir. C’est juste une série de coïncidences malheureuses pour vous qui m’a permis de découvrir pourquoi.
— Mais de quoi parles-tu ? demande Julie.
— Que ton amie a filmé tous vos ébats. Comment ? Mais avec ce sac. Regarde…
Je me saisis du sac, montre le petit trou qui permet à la caméra placée à l’intérieur de filmer.
— Tu comprends pourquoi elle voulait que vous restiez dans le salon. En plaçant son sac sur ce meuble, elle avait une vue parfaite sur la pièce. Dans la chambre cela aurait été plus difficile. Ici, et je fais un geste qui enveloppe la pièce, il y a assez de recul.
— C’était juste pour garder un souvenir, essaie de se justifier celle que je viens de démasquer.
C’est vrai qu’elle a bien failli réussir. C’est un reflet sur l’objectif qui m’a mis la puce à l’oreille. Un reflet bien anodin, mais ajouté à :
— Moi, je pense que vous aviez une idée derrière la tête.
— Mais non, voyons, laquelle ?
Elle se dresse comme si je l’avais injuriée.
— Jean, tu deviens parano.
— Ma chérie, je suis désolé de briser tes rêves, mais si Astrid a entrepris de te séduire, c’est pour que tu deviennes son alliée et me conseilles de retenir son mari pour le poste. Pour avoir, le cas échéant, un moyen de pression si vos baises ne suffisaient pas, elle a entrepris de vous filmer. Pour être bien certaine que tu ne puisses pas refuser, elle a même organisé ces séances de domination. Le chantage aurait été encore plus fort. J’imagine que tu ...
... n’aurais pas eu d’autres solutions si tu ne voulais pas que j’apprenne votre liaison. N’est-ce pas, Astrid ?
La femme reste silencieuse et c’est encore pire qu’un aveu. Je continue.
— Ce qui m’étonne, c’est qu’Alain vous ait lancé dans cette aventure. Cela ne cadre pas avec ce que je sais de lui. Mais connaît-on vraiment les gens ? Je le regretterai, mais bien entendu je vais le licencier. Je me vois mal continuer de travailler avec lui. Il a de la chance que je ne puisse pas donner la vraie raison de son licenciement, car cela fera les gorges chaudes autour de nous.
Alors Astrid devient livide et avoue en pleurant :
— Non ! Non ! Il n’est pas au courant. Il ne m’a rien demandé. C’est moi qui ai tout imaginé.
— Mais pourquoi ?
— Parce que s’il n’a pas cette place, il m’a dit qu’il ne pourrait pas rester. Qu’il quitterait votre entreprise, qu’on déménagerait et moi je ne veux pas. Je suis bien ici, mon travail me plaît, nous y avons tous nos amis. Alors j’ai pensé à cette façon.
Pendant tout le temps où j’ai démontré le plan de son amie, ma femme n’a pas vraiment réagi. Peut-être qu’elle ne voulait pas y croire. Mais l’aveu d’Astrid la fait sortir de son silence.
— Salope. T’es vraiment une salope. Me faire ça. Pour te servir de moi. Moi qui croyais que tu avais du plaisir alors que tu simulais pour mieux me séduire…
— Julie, je comprends ta colère, mais tu ne peux pas croire que je simulais. Je…
Son regard va de moi à mon épouse. Elle semble hésiter, mais ...