1. La fibre ou la vie


    Datte: 16/01/2020, Catégories: ff, ffh, cocus, vidéox, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jouet, yeuxbandés, confession, vengeance, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... que nous lui…
    
    Julie se lève. Elle défait la ceinture de son peignoir et le laisse tomber. La main qu’elle tend à sa complice est ferme. Astrid se lève aussi. Julie défait son peignoir. Lui aussi tombe à terre. Les deux femmes se font face. Elles sont belles, encore plus belles qu’en vidéos de basse définition. Le contraste est encore plus fort. Julie pourtant encore bronzée de nos vacances paraît bien pâle comparée à la peau sombre d’Astrid, gazelle d’Afrique, faisant face à la maturité Européenne.
    
    Je crois que c’est en me calant confortablement dans mon fauteuil que j’ai donné un accord silencieux. Si les femmes hésitaient, elles commencent à se rapprocher. La table basse me sépare d’elles et c’est bien plus près que n’importe qu’elle vidéo, fut-elle sur écran géant, en 4K et avec une caméra qu’un voyeur déplace.
    
    Rien de comparable à ces deux corps qui se touchent. Rien de plus sensuel que ce baiser pourtant prude comme si elles hésitaient encore. Rien de plus érotique que ces lèvres qui s’ouvrent afin que leurs langues se retrouvent.
    
    Julie me surveille du coin de l’œil. Elle se contrôle encore. Pourtant ses mains comme celles de sa complice parcourent le corps de l’autre.
    
    Je souris de ce spectacle qui m’est offert, déjà impatient d’assister de près à leurs ébats.
    
    Mais je vois Julie parler à l’oreille de sa maîtresse. Elles se séparent, font le tour de la table basse.
    
    — Viens, mon chéri. Viens avec nous.
    
    Qui refuserait pareille invitation ? Pas moi ...
    ... qui saisis la main tendue. Commence alors un ballet dont je suis le centre. Les deux femmes me déshabillent. Astrid découvre ma toison. Elle m’avait peut-être entraperçu lorsque Julie lui a montré nos photos de vacances, mais sa main en découvre la douceur. Adolescent, elle me faisait honte, mais bien vite mes amies m’ont fait comprendre que cela leur plaisait. Pas toutes, mais la plupart. Cela les changeait de ces hommes imberbes. Julie l’adore. Mes poils sont parfois si longs et si denses qu’elle s’improvise coiffeuse. Une coiffeuse qui se charge aussi souvent d’en libérer ma verge et mes couilles offrant ainsi un contraste saisissant.
    
    La main d’Astrid me pousse aussi pour que je m’asseye.
    
    Il leur faut repousser la table basse pour s’installer à genoux devant moi. Leurs mains bataillent pour se saisir de ma verge. Si elles avaient besoin de la confirmation de mon aveu, ma demi-érection leur en apporte la preuve. Deux mains s’en saisissent.
    
    Je pense aux caméras qui immortalisent ce moment. Je montrerai plus tard à ma femme combien elle était salope avec son amie pendant leurs baises. Elle se verra aussi, chienne à genoux devant son mari. Ce n’est bien entendu pas la première fois que Julie se place ainsi, mais jamais avec sa doublure en noir à côté d’elle.
    
    C’est ma femme qui montre la voie. Astrid la remplace. En temps normal je fermerais les yeux pour me concentrer sur le plaisir. Mais pas aujourd’hui ! Je veux voir, regarder, comparer, associer chaque bouche, ...
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