La fibre ou la vie
Datte: 16/01/2020,
Catégories:
ff,
ffh,
cocus,
vidéox,
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
yeuxbandés,
confession,
vengeance,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... cocu.
— Ah !
Un silence s’établit. Chacun, surtout Julie, prend conscience ce que cela signifie. Astrid, si elle est silencieuse et manifestement inquiète, tente une porte de sortie.
— Je vais vous laisser. Je ne peux que m’excuser auprès de vous, Jean. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Un moment de folie et puis après… vous comprenez… Il faut excuser Julie. Tout est de ma faute. On ne peut pas revenir en arrière. Il faut lui pardonner. Nous ne nous reverrons plus. C’est promis.
Et puis avec une voix beaucoup plus douce :
— N’en parlez par à Alain, s’il vous plaît. Il ne me le pardonnerait pas.
Comme je ne réponds pas, elle continue :
— Si vous voulez bien me rendre mes habits, je vais partir. Ma présence ne ferait qu’envenimer les choses.
— Mais bien sûr. Je veux juste vérifier certains détails.
— Chéri, me dit ma femme, elle a raison, c’est entre toi et moi.
— Certainement, mais d’abord laisse-moi regarder…
Et je prends le smartphone que j’ai laissé avec le sac et les habits sur la table basse. Il n’a pas eu le temps de se mettre en veille. L’icône « Galerie » est bien présente. Le sous-fichier « Appareil Photo » se laisse ouvrir. Même en petite taille les photos parlent d’elle-même. Les deux femmes me regardent.
Tout le monde est familiarisé par le geste du doigt qui fait défiler les photos.
— Ah !… Oh !… Et celle-là !… dis-je en forçant la voix pour paraître un bon spectateur.
— Qu’est-ce que tu regardes ? demande Julie qui fait mine de se ...
... lever, mais que je fais rasseoir d’un geste brusque.
Astrid a compris. Elle hésite. Et puis :
— C’était pour avoir un souvenir. Juste pour moi. Pour plus tard.
— Je comprends.
Et regardant ma femme, je questionne :
— Tu savais qu’Astrid te prenait en photos ?
Mais avant même que Julie réponde, Astrid se justifie :
— Non, Julie ne le savait pas. C’était pour lui faire la surprise. Je lui aurais montré après.
— Bien sûr ! dis-je.
Un long silence où je fais défiler les photos.
— Je préférerais que ces photos disparaissent. Vous comprenez ? Elles sont particulièrement « fortes », on reconnaît très bien ma femme malgré le bandeau et cette attitude… Ces jouets étalés sur le lit… Un mari pourrait en être choqué…
— Oui… oui… bien entendu… je ne voulais pas vous choquer… Juste un jeu entre nous… Pas pour les autres… Je vous en prie, effacez-les…
— Merci, dis-je et je les sélectionne avant de les effacer.
Je pense que mon calme doit troubler les femmes. Elles s’attendaient probablement à subir la fureur d’un mari cocu !
— Je peux y aller ? demande Astrid qui fait un geste vers ses affaires.
— Oui. Enfin non. Juste un détail.
— Ah.
— Chéri, laisse-la partir.
— Mais, c’est pour ton bien, ma Chérie, que je fais cela. Ton bien et le mien.
— Je ne comprends pas.
— C’est ton amie qui va t’expliquer.
— Expliquer quoi ? demande Astrid.
— Voyons, chère Astrid, ne faites pas l’innocente.
— Je ne comprends pas.
— Alors je vais vous mettre les points sur ...