La fibre ou la vie
Datte: 16/01/2020,
Catégories:
ff,
ffh,
cocus,
vidéox,
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
yeuxbandés,
confession,
vengeance,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... la fente de ma femme. Elle l’active, mais aussi le fait ressortir pour le plaquer sur le clitoris. Julie apprécie ce traitement. Elle le dit. Elle bouge sous ces caresses, me permettant de découvrir un reflet sous sa chatte, reflet d’un de nos plug, en Inox parfaitement poli.
Julie gronde encore plus lorsque le gode vient vibrer contre ses tétons et continue son chemin afin qu’elle le suce comme une vraie bite d’homme.
Mais Astrid ne fait pas qu’apporter du plaisir à mon épouse. De sa main libre, elle tient son smartphone et à la façon dont elle le manipule elle doit « immortaliser » l’instant. Julie, aveuglée par le bandeau ne se doute pas que sa complice engrange des souvenirs, que la situation, le décorum sur le lit, rendent plus qu’intime.
Si j’avais un doute, il est balayé. À moins que Julie ? et je n’y crois pas, soit au courant et aie donné son accord. Ma femme n’est pas de ces adolescentes qui cherchent des « Followers et des Likes » en postant leurs exploits sur des sites ouverts à tous.
Je pousse la porte sans bruit. Il faut quelques secondes pour qu’Astrid remarque ma présence.
Le « T’aimes ça, cochonne, hein ? » qu’elle prononce alors que son regard me découvre vaut son pesant d’or.
Évidemment elle est stupéfaite, comme paralysée, et cesse son jeu avec le gode.
— T’arrête pas, je vais jouir. Reviens. Reviens, dit la femelle sur le lit poussant son ventre à la recherche du vibro.
Je fais un pas. Astrid recule. Je vais vers elle et sans un ...
... bruit alors qu’elle craint qu’elle ne soit l’objet de ma colère, je lui prends le smartphone. En silence, je ramasse les habits qui jonchent le sol, attrape le sac à main sur la table de nuit et, au moment de partir, dis :
— Je vous attends dans le salon.
Je suis à peine dans le couloir que j’entends ma femme :
— Jean ! Jean ! C’est toi ? Astrid, qu’est-ce qui se passe ? Détache-moi, vite, vite…
Elles arrivent quelques minutes plus tard. Il a bien fallu détacher les liens avant de revêtir un peignoir. Astrid ne risquait pas d’apparaître habillée puisque j’avais « confisqué » ses affaires dans le but de la forcer à rester pour une explication.
— Tu m’as menti. Tu me surveillais. C’est une honte.
La meilleure défense, c’est l’attaque. Voilà ce que doit penser Julie alors qu’elle essaie cette tactique.
— Asseyez-vous. Non, là, en face de moi. Sur le canapé. L’une à côté de l’autre que je puisse vous contempler.
Je les regarde s’installer. Je reprends :
— Non, je n’ai pas utilisé les caméras pour te piéger. Tu t’es piégée toute seule avec tes remarques, samedi soir.
— Tu m’avais dit que tout était effacé au fur et à mesure. Tu m’as donc menti.
— Non. Et je n’ai pas à me justifier. Pourtant je vais te dire. En te répondant, je n’avais pas pensé aux sauvegardes automatiques.
Elle encaisse la révélation.
— Tu veux dire que tout ce qui est filmé a été conservé… Pendant longtemps ?
— Assez pour que je puisse dater la première fois que tu m’as fait ...