1. La fibre ou la vie


    Datte: 16/01/2020, Catégories: ff, ffh, cocus, vidéox, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jouet, yeuxbandés, confession, vengeance, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... mais Julie l’aurait peut-être remarquée. Pourtant, maintenant qu’elle sait que tout ce qui se passe dans le salon est filmé, même si c’est automatiquement effacé, je pense que les femmes trouveront un autre terrain de jeu.
    
    Voilà. On sonne. Julie va ouvrir, sort et repousse la porte derrière elle. Je pense qu’elle va prévenir sa maîtresse des vidéos potentielles, afin de ne pas se montrer trop entreprenante. Elles entrent. Le regard furtif vers la caméra me conforte dans l’échange qu’elles ont eu. Astrid porte son sac à main comme toujours et un autre petit sac, genre sac de voyage.
    
    Elles jouent la comédie.
    
    — J’ai apporté ce que tu m’as demandé, dit la visiteuse.
    — Très bien. Allons dans la chambre pour essayer, répond Julie.
    
    Avec un échange si anodin qui pourrait croire que ce sont deux femelles en chaleur et non pas deux amies qui s’échangent des fringues ?
    
    J’attends. Il faut que je les surprenne en action et qu’Astrid ait le temps de faire comme d’habitude. Je leur laisse un bon moment, car j’imagine qu’elles vont déjà aborder le sujet des caméras et à quoi elles ont échappé.
    
    Trente minutes. C’est largement suffisant. D’habitude elles ne perdent pas de temps en palabres. Toutes les deux sont généralement impatientes de se donner du plaisir.
    
    J’ai été jusqu’à graisser la porte d’entrée qui couinait afin que je puisse entrer discrètement.
    
    Merde, je ne peux pas ouvrir. Julie a fermé et laissé la clef dans la serrure.
    
    La porte du garage fait un bruit ...
    ... d’enfer, mais la chambre donne côté jardin et j’espère qu’elles sont déjà dans leurs jeux.
    
    Ouf ! Le passage garage-maison n’est pas fermé. Je l’ai échappé belle. J’aurais pu rester comme un con.
    
    Est-ce que tous ceux qui ont des soupçons et cherchent à vérifier ont la même angoisse, la même boule au ventre ? Pourtant moi je sais, j’en ai même des preuves irréfutables, et pourtant je me sens coupable.
    
    Le couloir n’a pas d’ouverture alors que la chambre est inondée de lumière, le soleil étant juste filtré par les rideaux. La porte n’est heureusement pas fermée, juste repoussée me laissant assez de champ pour voir.
    
    Veine de cocu !
    
    Le spectacle vaut le déplacement. Astrid avait parlé de cordages. Elle a tenu parole. Julie est attachée sur notre lit, bras et jambes reliés à chaque angle. Prisonnière consentante, mais aveuglée par un bandeau sur les yeux. Mais ce n’est pas tout. Des cordages entourent chaque sein. Les lobes sont comprimés, étouffés à leur base par deux ou trois tours d’un lien qui fait gonfler les chairs poussant les tétons vers le haut comme des étendards plantés dans une boule rougie par la compression.
    
    Au sol gisent leurs habits.
    
    Sur le lit des gadgets sexuels sont répandus comme pour habiller leurs ébats. Nos godes, le fouet, le plug avec la queue d’animal. Une vraie exposition.
    
    Le sac à main, fameux, est posé sur la table de nuit.
    
    Astrid nue également, mais totalement libre de ses mouvements tient un sextoy vibrant qu’elle active dans ...
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