Décalage horaire
Datte: 15/01/2020,
Catégories:
fh,
fhhh,
profélève,
grossexe,
jardin,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
délire,
fantastiqu,
Auteur: Catherine, Source: Revebebe
... nous pensions…
C’est au quatrième sous-sol que nous découvrîmes l’horreur : toutes les femmes, qu’elles soient, là encore, malades ou soignantes, étaient enfermées là. Un peu à la façon dont certains insectes pondent dans le corps d’un autre et dont la larve se nourrit en grignotant lentement l’intérieur de son hôte sans pour autant le tuer, elles avaient été inséminées de la même façon.
Et elles étaient là, paralysées et impuissantes, en train de se faire interminablement dévorer de l’intérieur par une créature qui, bien entendu, prendrait bien soin de ne s’attaquer à leurs organes vitaux qu’à la toute fin de son développement. La mort au bout d’interminables souffrances…
Jamais je n’oublierai le visage de ces malheureuses implorant que l’on mette fin à leur martyre, et plus particulièrement celui de ce qui fut sans doute une ravissante infirmière black qui, au prix d’un effort surhumain, avait réussi à me subtiliser mon poignard de combat avant de se le plonger elle-même dans l’abdomen pour abréger son calvaire.
Par la suite, nous découvrîmes que tout cela n’avait hélas rien d’exceptionnel et que c’était sans doute pour cette raison que les femmes avaient été éloignées des champs de bataille. Mais, comme dans n’importe quelle armée, la connerie est la norme, et nous reçûmes l’ordre de garder le silence !
Pendant ce temps, les combats continuaient. C’était assez simple : nous arrivions, avec plus ou moins de difficultés, à détruire tout ce qui sortait des ...
... vaisseaux-mères, ceux qui avaient détruit nos métropoles. Par contre, même les ogives nucléaires étaient sans effet sur ces derniers… Mais d’où sortaient-ils tout ce matériel et tous ces combattants ? Cela restait une énigme que personne ne parvenait à percer.
Il y avait également un autre mystère que, cette fois, nous ne cherchions pas vraiment à résoudre : notre armement, à nous. Les usines avaient été détruites en même temps que nos villes ; tous les hommes étaient au combat et les femmes introuvables, et pourtant nous ne manquions de rien. Un simple appel radio au beau milieu de nulle part et, dix minutes plus tard, un hélico venait nous balancer plus de munitions que nous ne parviendrions jamais à leur en foutre dans la gueule. Et pourtant, Dieu sait que nous avions la main lourde à chaque fois que l’occasion s’en présentait !
Chacun d’entre nous avait perdu au moins un être cher dans ces attaques surprise. À chaque fois que je parvenais à dessouder l’une de ces créatures, j’imaginais venger un peu de la mort de Sylvia. Mais, chaque nuit, elle revenait me hanter…
En attendant, si le matos ne manquait pas, l’hécatombe n’en finissait pas de durer, et nous étions de moins en moins nombreux à nous battre devant une armée dont les rangs ne semblaient jamais s’éclaircir. Sans un miracle, nous allions perdre cette guerre, et c’en serait fini de l’espèce humaine.
Ce miracle, auquel personne ne croyait plus, vint de là où on l’attendait le moins. Une bande de jeunes ...