Décalage horaire
Datte: 15/01/2020,
Catégories:
fh,
fhhh,
profélève,
grossexe,
jardin,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
délire,
fantastiqu,
Auteur: Catherine, Source: Revebebe
... de sa robe fendue, sa cuisse se révélait très haut… Très haut, mais pas tout à fait assez pour savoir si elle était allée jusqu’au bout de mes souhaits. Sylvia avait parfaitement conscience de mon trouble et ne faisait bien évidemment rien pour dissiper mes doutes ; mais, après tout, cela faisait partie du jeu…
Le repas avait été excellent même si, honnêtement, j’attendais la fin de celui-ci avec une certaine impatience. Et pour cause ! Aussitôt l’énorme portière refermée derrière nous, nos langues se mêlaient.
À l’aller, s’il était hors de question de prendre le risque de froisser ce si beau costume confectionné sur mesure ou de déchirer le satin de la robe de Sylvia, la musique n’était plus tout à fait la même lors du retour.
Profitant de l’immense espace intérieur et de la faible luminosité de l’habitacle, je m’étais agenouillé devant elle. Mes mains avaient glissé le long de ses jambes, de plus en plus haut, jusqu’à ce que je découvre ce dont je rêvais depuis l’instant où elle m’avait demandé de lui décrire mes fantasmes. Oui, la belle avait abandonné ses classiques collants pour un porte-jarretelles de dentelle rouge et des bas de soie noire…
Et, continuant ma quête avec obstination, je découvris quelques instants plus tard que, exactement comme j’en avais rêvé, elle ne portait pas non plus de culotte. J’étais aux anges, mais tout cela n’était rien à côté de la dernière surprise qu’elle m’avait réservée : alors que je ne connaissais son adorable sexe que ...
... couvert d’une légère fourrure brune, je le devinais soudain totalement lisse. Certes, cela faisait partie de ma liste de souhaits, mais je n’aurais jamais cru que celui-ci puisse être exaucé.
Cette fois, c’en était trop. Sans me préoccuper de ce chauffeur qui, sans doute, irait tout raconter à son père, je glissai ma tête dans la fourche des jambes de mon amie. Le contact de ma langue sur ce sexe lisse m’électrisa… Pouvoir accéder au moindre repli de son intimité sans se soucier d’un poil forcément taquin était une sensation merveilleuse.
Quelques minutes plus tard, Sylvia partait dans une longue jouissance comme je ne lui en avais sans doute jamais provoquée. Cela aurait pu s’arrêter là mais, à peine avions-nous repris nos esprits que, la robe remontée très haut, c’était à son tour de venir s’empaler sur mon sexe dressé, toujours sous le regard absent de notre chauffeur.
Ce dernier, sans doute coutumier de ce genre de balade coquine, se mit alors à adopter une conduite quelque peu différente. Si, jusque là, nous étions admirablement portés, il semblait s’être mis en tête de passer sur chacune des irrégularités de la route qui se présentaient, le tout en accélérant ou freinant plus que de raison.
Maladresse ? Vengeance ? Inexpérience ? Incompétence ? Rien de tout cela, tout au contraire. Chaque mouvement de la caisse accentuait notre plaisir à tous les deux sans que nous n’ayons à faire le moindre mouvement.
Lorsque, au bout d’un trajet visiblement prolongé d’une ...