1. Décalage horaire


    Datte: 15/01/2020, Catégories: fh, fhhh, profélève, grossexe, jardin, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, délire, fantastiqu, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... mise en scène rapidement convenue lorsque nous étions encore à l’intérieur. Quoique aussi spectaculaires que sonores, Maud ne les a pratiquement pas senties… Quant à ses pleurs, eux aussi sont totalement bidon… Merci au DHBP !
    
    Tout en lui maintenant les mains au-dessus de la tête, je glisse un doigt dans la fourche de ses cuisses. Sans surprise, j’y trouve une caverne totalement détrempée dans laquelle je m’empresse d’y ajouter un second et, sans douceur, je me mets à la pistonner dans un florilège de bruits mouillés.
    
    Pour Maud, la situation est délicate : elle est censée être en train de se faire violer, mais je sais très bien qu’elle apprécie le petit traitement que je lui inflige. Et cette fois, le DHBP n’y est pour rien !
    
    Tout au contraire, c’est le fruit des quelques soirées passées entre nous alors qu’elle n’était pas encore ma Poupée…« Mon Dieu que je n’aime pas ce mot, et encore moins ce que cela sous-entend ! »
    
    Par contre, exactement comme l’avait prédit Wilheim, c’est déjà la foule, autour de nous… Et le plus surprenant vient de ce qu’il y a largement autant d’hommes que de femmes. Et au petit jeu qui consiste à insulter Maud, ces dernières ne sont pas en reste !« Mais bon sang, qu’a-t-il bien pu se produire pour que tout cela soit possible ? »
    
    Mais pour le moment, l’urgence est ailleurs. Dégainant ma queue à la manière d’un Lucky Luke nouvelle version, j’embroche Maud et, sans lui laisser le temps de souffler, je commence à la ramoner avec la ...
    ... douceur d’un marteau-pilon. Le cri qu’elle a poussé alors que je la pénétrais a soulevé une clameur d’enthousiasme…
    
    Pour moi, l’heure est grave. J’ai beau savoir que ses larmes sont feintes, que ses cris sont de circonstance, tout cela me trouble quelque peu. Par contre, et cela nul ne peut s’en douter, il y a les muscles que ma partenaire serre et desserre autour de mon sexe. C’est le genre de détail qui ne trompe pas…
    
    Il est une très vieille légende jamais vraiment vérifiée qui veut qu’il soit très difficile de discerner, rien qu’en regardant son visage, si une femme souffre ou, tout au contraire, est en train de jouir. Les rictus sont les mêmes, les gémissements très proches, les cris assez semblables. Et avec Maud, cela tombe plutôt bien. Elle en se débat plus, ne crie plus, elle ponctue tout au contraire chacun de mes coups de boutoir d’un grognement assez ambigu.
    
    — Regardez-moi cette salope ! Elle aime le mâle ! Vous allez voir qu’elle va jouir, cette pouffiasse !
    
    J’aimerais pourvoir lâcher Maud pour aller coller une beigne monumentale à l’espèce de morue qui vient de prononcer ces mots. Pour celle qui en est la cible, c’est assez différent : le DHBP agit à la demande sur le subconscient, aussi ne se sent-elle pas touchée par l’insulte. En temps de guerre, cela permet de conserver l’intégralité de son discernement dans les conditions les plus critiques, et cette situation en est assez proche.
    
    Cela dit, la mégère n’a pas tout à fait tort, dans la mesure où Maud ...
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