Au concert
Datte: 14/01/2020,
Catégories:
fhh,
extracon,
hotel,
Oral
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... ?
Jacques avait passé une main sous la veste, cherchant du bout des doigts la dentelle de ma culotte. Quand il a passé sa main sous l’élastique, mon souffle est devenu plus saccadé. Ça répondait à sa question. Il a repoussé légèrement mon visage pour abaisser sa braguette et sortir le bout de son sexe. J’ai senti un tissu se poser sur mon visage, et sa main guider son gland vers ma bouche ouverte.
— Et s’il t’avait donné son sexe à sucer, tu aurais fait quoi ?
Ça se passait aussi de réponse. J’ai relevé une jambe pour que Jacques me masturbe, et je me suis emparée de son pieu pour le sucer goulûment. Je n’ai pas tardé à jouir tellement j’étais excitée, et mon chéri s’est laissé aller lui aussi assez vite. J’adore son sperme dans ma bouche ; il a le goût de l’honneur qu’il me fait en se laissant ainsi aller.
Après une bonne douche, nous nous sommes endormis enlacés, comme des amoureux.
Samedi, grasse matinée. Il devait être dix heures quand j’ai ouvert les yeux. Dans le semi-coma qui a précédé mon réveil, j’ai repensé à Martin, dans le train. C’est vrai qu’en suçant Jacques hier soir, je l’avais encore en tête, ce petit jeune… C’est lui qui m’avait émoustillée. Jacques n’y était pas non plus pour rien, puisqu’il avait profité de mon état pour se faire un trip. Je sentais encore une grosse chaleur entre mes cuisses, et j’ai commencé à me caresser le petit bouton. J’avais une envie de sexe. Je me suis penchée sur la verge de mon mari qui dormait encore pour le ...
... sortir de sa torpeur. À genoux devant lui, je me suis masturbée tout en le suçant. Il a rapidement été opérationnel, me gratifiant d’une érection de jeune homme que j’ai pu exploiter à ma guise. Il a bien compris que je n’avais pas envie d’être touchée ou pénétrée, mais que je voulais me faire du bien, et m’a laissée faire. J’ai attendu de sentir son premier jet pour me laisser aller moi aussi. Nous avons joui en même temps. Quel bonheur ! J’ai tiré la couette sur nous et je me suis lovée contre mon amour ; nous étions bien.
— Eh bien, ce jeune est efficace. Un voyage en train avec lui et j’ai droit à deux magnifiques pipes.
— T’es bête…
— Je n’ai pas raison ? Tu n’as pas pensé à lui ce matin ?
— Si. Tu as raison.
— Tu pensais à lui en me suçant ?
— Un peu, oui.
— Salope !
— Ouiiiii…
— Tu aimerais le sucer ?
— Ouiiii…
— Tu aimerais qu’il te baise ?
— Oh ouiii…
— Tu as son numéro ? Appelle-le.
— Hé, tu déconnes ; c’est un gamin. Je plaisantais.
— Tu es sûre ?
— Oui, oui.
En réalité, je ne plaisantais pas tant que ça. C’est vrai que j’aurais adoré voir si vraiment je lui fais de l’effet.
Nous avons passé la journée à faire du shopping, et comme d’habitude j’ai été couverte de cadeaux. Ma valise sera encore plus lourde au retour. Je ne cessais de penser à Martin, et Jacques le voyait bien. J’étais ailleurs. Plusieurs fois il m’en a fait la remarque, mais je n’étais pas sincère. Et la sincérité, c’est quand même la base de notre couple ; alors j’ai fini par ...