1. Au concert


    Datte: 14/01/2020, Catégories: fhh, extracon, hotel, Oral Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... voyagé avec son billet, qu’il était très sympa, et qu’il ne savait même pas où il allait dormir. Martin a salué Jacques d’une poignée de main ferme. Je lui ai demandé son numéro de téléphone au cas où ; il a pris le mien. Nouvelle bise, et au revoir.
    
    Dans la voiture que Jacques avait louée, je lui ai raconté mon voyage, mon sommeil sur les jambes de Martin, la gentillesse de ce garçon. Naturellement, il a voulu en savoir plus, savoir par exemple si j’avais apprécié son contact, si le fait qu’il ait une érection devant moi m’avait fait quelque chose. On se dit tout, alors j’ai dit la vérité. J’avais été honorée de le faire bander comme ça, et j’en avais ressenti en plus d’une certaine fierté, une véritable excitation. J’ai dû lui avouer que si cela s’était passé dans un train de nuit, j’aurais peut-être été tentée de lui prodiguer quelques caresses, « sans le faire exprès », avec l’excuse d’un sommeil agité. Nous en avons ri tous les deux, surtout qu’en lui disant ça j’avais passé une main sur sa braguette et que lui aussi était « ému » par cette évocation.
    
    Nous avons dîné rapidement à l’hôtel avant de nous retrouver dans la chambre d’une magnifique suite. Jacques vient souvent ici et nous avons été surclassés.
    
    Assis côte à côte dans le canapé, je me suis allongée en posant ma tête sur les jambes de Jacques, repliant les miennes. Nous étions bien tous les deux. Nous sommes restés un moment silencieux. Jacques a attrapé une veste pour la poser sur mes jambes, me ...
    ... demandant si c’était ce qu’avait fait Martin. « Oui, ai-je répondu, à peu près. » J’ai frotté un peu ma tête contre ses cuisses pour changer un peu de position, et j’ai dit à Jacques que j’avais bougé « comme ça ». Je lui ai fait remarquer que je voyais chez lui aussi la manifestation d’une certaine émotion. Jacques bandait. Le jeu démarrait.
    
    — Ah bon, il bandait comme ça, sans que tu ne fasses rien d’autre ?
    — Oui oui…
    — Et il ne t’a pas touchée ?
    — Non. Juste l’épaule.
    — Comme ça ?
    — Oui, comme ça.
    — Et toi, tu ne l’as pas touché ?
    — Non.
    — Et si ça avait été un train de nuit, tu aurais fait quoi ?
    
    Je voyais bien où il voulait en venir, le cochon… J’ai gardé les yeux fermés, remonté mes bras sous ma tête, mettant mes mains à plat sur les cuisses de Jacques, l’une quasiment sur sa braguette. J’ai bougé un peu, ma tête pressant sur ma main. J’ai ensuite fait mine de rajuster la veste sur mes jambes, la remontant largement pour découvrir mes pieds nus, mes mollets et mes genoux. Ma main est revenue à sa place, prenant appui sur son sexe.
    
    — Ah oui, il aurait sans doute aimé ça. Tu penses qu’il aurait essayé d’en profiter ?
    
    Je n’ai pas répondu. J’étais supposée dormir. Mais d’un sommeil agité, sans contrôle sur mes mains. Main gauche sur son sexe, main droite entre ses cuisses, j’avais ouvert légèrement la bouche pour souffler, et commencé à mes frotter les cuisses l’une sur l’autre, comme prise dans un rêve.
    
    — Et s’il avait fait ça, tu l’aurais laissé faire ...
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