Au concert
Datte: 14/01/2020,
Catégories:
fhh,
extracon,
hotel,
Oral
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... je lui fais remarquer qu’on voit un peu au travers de mes vêtements, il me répondra qu’au contraire ça me va magnifiquement bien mais que je pourrais même en montrer encore davantage.
Il faut dire que je suis un peu exhib. J’aime bien qu’on me regarde. Le regard qui me ravit le plus c’est celui de mon mari, mais j’aime que les hommes bavent. Les femmes en général aiment qu’on les désire, mais souvent leur éducation les bloque. Je n’ai pour ma part aucun problème avec ça. Si quelqu’un se retourne pour me regarder les fesses, je me sens honorée. Si un homme ose plonger son regard dans mon décolleté, du moment qu’il ne fait pas de remarque salace, non seulement ça ne me pose aucun problème, mais je suis presque gênée de ne pas pouvoir lui en montrer plus. Et Jacques, ça, ça lui plaît.
Pour en revenir à mes tenues, donc, il m’incitera toujours – sans m’y obliger – à porter des vêtements qui donnent envie d’en voir plus. Il faut donc en voir un peu. Mais il veut que je reste classe, et ça correspond aussi à ce que je souhaite. Classe, sexy, mais pas vulgaire.
Pour nos sorties, nous préférons les grandes villes. Il est plus facile d’y passer inaperçus. Paris, Lyon, parfois Bordeaux ou Nice sont nos destinations préférées pour le week-end. Il nous arrive aussi, lorsque Jacques se trouve à l’étranger en fin de semaine, que je fasse le trajet pour le retrouver.
Nous sommes fans d’un groupe irlandais bien connu qui donnait un concert à Londres. Nous avions pris nos places ...
... depuis plusieurs mois, et ce rendez-vous, nous y tenions par-dessus tout. Nos billets de train avaient aussi été réservés de longue date.
Finalement j’ai dû voyager seule. Jacques était en Angleterre cette semaine-là. Un premier train pour Paris, un changement de gare, puis le TGV. Jacques m’attendrait à l’arrivée.
Comme d’habitude, je me suis chargée d’une grosse valise, hésitant entre différentes tenues, entre différentes chaussures, etc. On ne se refait pas. Pour le trajet, j’avais gardé mes vêtements de la journée, sages, si ce n’est mon décolleté un peu plongeant. J’avais le look d’une voyageuse de commerce un peu fatiguée.
Le train à partir de Paris était bondé. J’étais tranquille, seule, en première, la place à côté de moi resterait libre. J’avais nos deux billets, mais une seule paire de fesses.
Peu après le départ, j’ai vu défiler dans la rame nombre de gens qui n’avaient pas de siège attitré et qui cherchaient à se poser. Plusieurs m’ont demandé si la place à côté de moi était libre, et j’ai à chaque fois répondu que non. Menteuse. Je n’avais simplement pas envie qu’on me casse les pieds.
Puis est arrivé un type d’une trentaine d’années, qui portait un sweet-shirt à l’effigie du groupe que nous allions voir à Londres. Un gars simple, l’air joyeux, pas très fortuné, mais très sympathique au premier abord et aussi très poli. Il s’est d’abord excusé de m’importuner, et plutôt que de me demander si la place était libre, il m’a dit « Souffririez-vous, belle ...