1. Les deux pestes


    Datte: 12/01/2020, Catégories: ffh, jeunes, fdomine, humilié(e), chantage, strip, Oral pénétratio, hdanus, jeu, vengeance, Auteur: Mickael G., Source: Revebebe

    ... garçon, c’est toujours plus sympa que de recevoir des ordres. Je ne dis pas que j’étais content d’être là, loin s’en faut, mais il y avait de petits avantages à la situation.
    
    — Tu sais, Anne-So, ce n’est pas un problème d’odeur de pieds, il a l’air de bien aimer. Tu crois que ça vient des dessous de bras ?
    — Peut-être. En tout cas, maintenant il bande mou.
    — Ouais, c’est lamentable. Ça suffit. Avoue, tu as aimé ?
    — Oui.
    
    Je me ravisai tout de suite :
    
    — Oui, Mademoiselle Élodie.
    
    Trop tard. Elle n’attendait que ça !
    
    — Je vais t’apprendre à m’obéir, tu vas voir. Mets-toi debout.
    
    Je m’exécutai, redoutant le pire. Elle se leva aussi.
    
    — Tu m’as manqué de respect, tu mérites une punition. Pour ta peine, tu vas te branler devant nous !
    — … Écoute Élodie, euh ! Mademoiselle Élodie… Je vous en prie… Vous ne croyez pas que ça a suffisamment duré ?
    — Tu peux arrêter quand tu veux, mais tu connais la règle du jeu !
    — On peut aussi passer par Marrakech.
    
    Je pensais tout bas «la ferme, toi, tu me stresses encore plus que l’autre ! »
    
    Je commençai à me tripoter tout doucement du bout des doigts mais ce n’est pas du tout ce qu’elle attendait.
    
    — NON, NON, NON… Vas-y franchement, comme si on n’était pas là. Tous les garçons adorent se branler, on sait ça depuis Freud. Tu ne vas pas essayer de nous faire croire que tu es une exception. Allez plus loin, plus vite…
    
    Je n’avais pas le choix et la mort dans l’âme, je dus me donner en spectacle.
    
    — Voilà, ça ...
    ... commence à ressembler à quelque chose… Allez, allez, plus vite…
    
    Je ne pensais plus à rien, essayant d’oublier leur présence.
    
    — C’est bien, tu continues comme ça, et je préfère te prévenir que si tu t’arrêtes ou si tu jouis, ça va aller très mal pour toi. Maintenant, tu me regardes.
    
    Et devant mes yeux ébahis, elle défit son ceinturon et retira sa robe. Élodie, sur laquelle j’avais fantasmé des nuits entières, était debout devant moi, seulement vêtue d’un string et d’un soutien-gorge noirs, magnifique, avec ses petites taches de rousseur sur les épaules et dans le décolleté, et sa poitrine de rêve. Elle prenait un malin plaisir à se retourner, me montrant des fesses pour lesquelles j’étais prêt à me damner.
    
    — Ça te plaît ?
    — Oui, Mademoiselle Élodie.
    — Il faut dire que tu as passé tellement de temps au labo à regarder sous mes bras ou dans mon décolleté, que tu as bien mérité une récompense.
    
    J’étais au bord de l’orgasme. Il fallait que j’arrête tout de suite, ce n’était plus tenable.
    
    — Mademoiselle Élodie ?
    — Oui ?
    — Je vous en prie, je n’en peux plus. Laissez-moi arrêter, s’il vous plaît !
    — C’est bien, je vois que tu commences à comprendre. Mets les mains sur la tête.
    
    Je me dépêchai d’obéir. Il était temps. La chaleur m’envahit le bas ventre, irradia dans mes testicules, et se répandit dans ma queue qui fut prise de secousses incontrôlables. Chaque muscle de mon corps se banda. Je ne bougeais plus, je ne respirais plus. Même les deux filles retenaient ...
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