1. Les deux pestes


    Datte: 12/01/2020, Catégories: ffh, jeunes, fdomine, humilié(e), chantage, strip, Oral pénétratio, hdanus, jeu, vengeance, Auteur: Mickael G., Source: Revebebe

    À mes deux pestes à moi.À cette année formidable que nous avons passée ensemble.À nos soirées de révision, à nos angoisses avant les examens, à nos fous rires et aux nuits de fête.En souvenir du jour où, après un pari perdu, vous m’avez condamné en guise de gage à raconter une histoire érotique nous mettant en scène tous les trois. Si je n’ai pas été très imaginatif à cette occasion, aujourd’hui je me lâche et je vous offre cette histoire.
    
    Rassure-toi, Anne-Sophie, j’ai forcé le trait, tu n’es pas vraiment comme ça. (Mais un peu quand même !)Et toi, Élodie, ne prétends pas que tu ne serais pas capable de faire une chose pareille, je ne te croirais pas !
    
    Les filles, je vous adore !
    
    Cela faisait déjà plusieurs mois que je supportais tant bien que mal ces deux filles. Je n‘avais pas le choix car nous travaillions tous les trois sur le même projet dans un laboratoire de recherche universitaire. C’était donc cohabitation forcée, dix heures par jour, cinq jours par semaine. Et je n’étais pas au bout de mes peines : encore au moins un an à tirer avant de pouvoir passer à autre chose !
    
    Au début, j’ai fait beaucoup d‘efforts pour Élodie, la plus sympa des deux.
    
    La première fois que je l’ai vue, j’en suis tombé raide amoureux. Il faut dire qu’elle était vraiment craquante avec son grand sourire, ses taches de rousseur et ses yeux malicieux. Sans parler de sa poitrine de compétition et de son derrière. Un tout petit peu enrobée, juste ce qu’il faut, comme je les ...
    ... aime.
    
    Malheureusement pour moi, Élodie est aussi délurée et bavarde que je suis timide et j’ai tout de suite compris que je n’avais aucune chance. Que voulez vous, dans la vie, il faut savoir admettre ses limites et faire avec ! Je me suis donc contenté de fantasmer, en traquant la marque de son string sous son jean ou en louchant dans son décolleté et dans l’emmanchure de ses t-shirts.
    
    Mais attention, si je suis coincé avec les filles, je ne suis pas plus stupide que la moyenne et j’ai rapidement compris son petit jeu : elle a vite senti que je voudrais bien mais que je n’osais pas, donc elle a abusé de la situation. Les nanas, c’est toujours comme ça. Même si on sait qu’elles nous prennent pour des pigeons, quand elles nous plaisent, on ne peut rien leur refuser, surtout avec un sourire ou un petit mot gentil. Alors, les premiers temps, je me suis tapé pas mal de boulot à sa place. Inconsciemment, je devais espérer que ça l’inciterait à faire le premier pas. C’est fou ce que je peux être naïf, parfois !
    
    L’autre oiseau rare, c’est Mademoiselle Anne-Sophie. Un poème, celle-là. Magnifique petite blonde au look hyper sophistiqué, cheveux très courts savamment coiffés en pétard avec des mèches colorées, piercings à gogo, du genre à changer de tenue trois fois par jour. Au royaume des têtes à claques, personne ne pourrait lui contester la couronne. Méprisante à souhait, jamais un sourire, jamais un mot aimable. Il n’y a qu’Élodie qui trouve grâce à ses yeux. Elle peut passer des ...
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