Les deux pestes
Datte: 12/01/2020,
Catégories:
ffh,
jeunes,
fdomine,
humilié(e),
chantage,
strip,
Oral
pénétratio,
hdanus,
jeu,
vengeance,
Auteur: Mickael G., Source: Revebebe
... lui, nous, des filles innocentes, sans défense, à côté de ce pervers !
Alors celle-là, c’était la meilleure ! Depuis tout à l’heure, ces deux espèces de détraquées me forçaient à assouvir leurs pires fantasmes, et c’est moi qui passais pour un délinquant sexuel ! Dans d’autres circonstances, je crois que j’en aurais éclaté de rire.
Élodie me regarda droit dans les yeux en recommençant à serrer sa main.
— Est-ce que tu regrettes, au moins ?
— Oui, Mademoiselle Élodie. Je m’excuse, Mademoiselle Élodie.
La pression devenait difficile à supporter. J’avais vraiment mal et commençais à me tortiller de douleur, la suppliant du regard, mais elle restait impassible. Plus je grimaçais et plus elle souriait.
— Ne bouge pas, je suis sûre que tu aimes ce que je te fais, n’est-ce pas ?
Je murmurais « oui Mademoiselle Élodie », entre deux gémissements.
— Tu veux que j’arrête ?
— S’il vous plaît ! Mademoiselle Élodie.
— Alors, ne t’avise plus jamais de nous manquer de respect, compris ?
— Oui, Mademoiselle Élodie.
Et elle desserra tout doucement sa main, me laissant reprendre petit à petit mes esprits, avant de retourner s’allonger à plat ventre sur le lit et de reprendre sa discussion sur les hôtels marocains avec Anne-Sophie, comme s’il ne s’était rien passé.
J’attendis debout, la queue au garde-à-vous, sans savoir que faire. C’était incroyable. J’aurais dû souhaiter plus que tout que ce jeu s’arrête mais non, cette petite peste avait raison, j’aimais ça. ...
... J’étais nu devant ces deux filles, humilié, soumis et pourtant je n’avais jamais été aussi excité de ma vie.
Plusieurs minutes passèrent avant qu’elle ne s’adresse de nouveau à moi.
— Tu mets les mains dans le dos et tu m’embrasses dans le cou.
Je ne me fis pas prier, finalement heureux de quitter le monde de la punition pour retrouver celui du plaisir. Sa peau était tellement douce, elle sentait si bon.
— Descends.
Je m’attardai sur les petits grains de beauté qui parsemaient son dos et le creux de ses reins. Je promenai mes lèvres sur ses petites rondeurs qui m’attiraient tant.
— Descends, je t’ai dit.
J’arrivai à la naissance de ses fesses, là où ses formes s’arrondissaient. Je les embrassai, les caressai avec mes lèvres, ma joue, ma langue.
— Au milieu.
Ma bouche se rapprocha de son sillon pour venir l’embrasser. Je le parcourus de haut en bas, mes lèvres humides collées dessus.
Élodie se cambra et, tout en continuant sa discussion sur les hôtels marocains, se mit à genoux, soulevant les fesses et écartant les cuisses, offrant sans aucune pudeur à mon regard incrédule toute son intimité.
— Ta langue. Entre mes fesses.
J’obéis, glissant ma langue là où la peau se fait plus humide. Élodie commença à bouger le bassin, me forçant à la lécher sur toute la hauteur de son fondement.
— Tu aimes cette odeur ?
— Oui, Mademoiselle Élodie.
— Continue. Plus profond.
La pointe de ma langue touchait maintenant le fond de son sillon, glissant au ...