Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (53) : le bureau.
Datte: 10/01/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Olga T, Source: Hds
... baisse son visage près du mien, ses lèvres sont à quelques millimètres des miennes. Son souffle se mêle au mien. Je suis tendue comme un arc, j’attends la délivrance d’un vrai baiser.
Enfin, ses lèvres effleurent les miennes, comme une plume se poserait sur le sol. Durant un long moment, il les bouge, caresse à peine les miennes. C’est presque intolérable. Je commence aussi à jouer avec sa bouche, nous ne faisons qu’explorer le tour des lèvres, nous touchant à peine. Ce moment dure, dure, dure…
Puis il pointe sa langue, très lentement, aux commissures de ma bouche, qui s’entrouvre un peu. Nos corps n’ont pas bougé. Ma main est toujours sur son bras, l’un des siens m’entoure un peu le torse, sa main me tient l’épaule.
Il resserre un peu son étreinte, mon bras resté libre remonte près de son cou. Sa langue se fait plus insistante. Et d’un coup, les vannes d’une folle passion s’ouvrent.
Mes lèvres s’ouvrent sous cette pression ferme, nos langues se mêlent, se cherchent, s’enroulent sans fin. Nous nous embrassons comme si notre vie en dépendait. Nos corps se sont collés, comme liés par un aimant puissant.
Je ressens des frissons dans le pubis, mes seins pointent. C’est extrêmement sensuel. Nos bouches sont collées, rien ne semble pouvoir nous séparer. Nos langues n’en finissent plus de s’entremêler, de s’aspirer, de se lécher… il enfonce la sienne au plus profonde possible de ma gorge, j’en fais autant, nous sommes littéralement en train de nous dévorer. Une danse ...
... linguale sans fin se joue dans nos bouches closes l’une par l’autre.
Je serai bien incapable de dire avec précision combien de temps ce baiser a duré, peut-être plus ou moins 10 ou 15 minutes. Un quart d’heure lèvres soudées, souffle court, tête et cœur à l’envers, avec un trouble intense et puissant. De l’érotisme à l’état pur.
Il y avait longtemps que je n’avais reçu ou donné un tel baiser. Je tremble comme une feuille. Rien ne semble devoir arrêter ce moment hors du temps, hors de toute logique.
Denis me prend dans ses bras, me soulève et me pose sur son bureau. Il ouvre mon chemisier avec impatience et caresse mes seins avec science, moi assise sur son bureau. Mes lecteurs savent que c’est un de mes points les plus érogènes. Je gémissais, il essayait de me faire taire en m’embrassant fougueusement. Pour la première fois, j’ai connu un orgasme avec Denis.
Nous n’avons pas entendu frapper à la porte du bureau de Denis.
C’était Martine E. , la secrétaire de Denis, qui apportait des dossiers pour des signatures urgentes. Martine m’avait depuis quelques temps à l’œil. Elle avait remarqué ma transformation, mes tenues toujours plus sexy, le temps que je passais dans le bureau de Denis.
Nous nous sommes redressés à la vitesse de l’éclair, mais notre trouble était visible. J’avais mal reboutonné mon chemisier, mon visage était marqué par le plaisir.
Denis a voulu me rassurer en me disant :
• Ne t’inquiète pas, Mme E. est d’une discrétion exemplaire. Elle ...