Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (53) : le bureau.
Datte: 10/01/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Olga T, Source: Hds
... ne dira rien. Mais j’y crois pas, tu as joui rien que parce que j’ai caressé tes seins et sucé tes tétons.
• C’est mon point le plus sensible. Un homme qui s’occupe de mes petits seins peut ensuite faire de moi ce qu’il veut.
• Alors dans ce cas, on va au bout. J’en peux plus, Olga. Viens chez moi ce soir ou allons à l’hôtel. Je te veux !
Au bord du gouffre, je refusais d’aller plus loin.
Il était absolument furieux :
• Tu n’es qu’une allumeuse ! Si tu préfères te branler dans les chiottes, vas-y ! Sors d’ici, petite putain ! Dehors !
Je compris au regard et aux conversations de mes collègues que Martine E. n’avait pas été aussi discrète qu’il le pensait. Tous étaient convaincus que « Denis S. se tape cette petite salope d’Olga T. »
J’étais désormais épiée et jugée. De moins en moins discrets, nous avions aussi été surpris au restaurant, nous tenant la main et nous embrassant. Ma réputation était faite. J’avais tous les inconvénients de l’adultère sans en avoir les avantages. Je devenais folle, il fallait en finir, soit lui céder, soit partir.
C’est à ce moment-là que j’ai découvert la réalité de la relation adultère de Philippe avec Ambre et ses mensonges et ce d’une façon dont je ne suis pas très fière, en accédant à ses emails, où j’ai découvert leur correspondance torride. J’étais à la fois abattue et folle de rage, avec une envie d’arracher les yeux à celui qui m’avait ainsi trahi.
Je lui ai fait la terrible scène dont j’ai déjà parlée dans le ...
... récit « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (46) : la plage et le camping : plaisir et jalousie ».
Je me suis soudain sentie libre de toute obligation, même si je n’ai pas agi seulement par vengeance, mais parce que j’avais envie de baiser avec Denis.
Ce qui devait arriver arriva.
ADULTERE AU BUREAU
Denis était soudain redevenu très distant, m’évitant, m’appelant à nouveau « Madame T. »
Un soir vers 18h45, à la sortie d’une réunion pénible, Denis m’appelle et me demande de venir dans son bureau pour finaliser directement le dossier qui avait été demandé par la hiérarchie. Je peste, car moi je voulais rentrer à la maison et je pensais ma journée finie. Mais bon, il faut bien faire son devoir et je me suis donc retrouvée dans son bureau.
On a commencé à travailler, cela a duré un quart d’heure, puis je me suis penchée sur son bureau pour attraper un document, et là j’ai senti ses mains autour de ma taille.
Je l’ai regardé et je lui ai dit d’un ton sec :
• Tu fais quoi là ?
• Ca suffit maintenant, Olga. On arrête de se mentir, j’ai envie de toi et toi tu as envie de te faire baiser, ça se voit !
J’ai été prise d’un désir violent et je suis devenue toute rouge.
Je ne savais plus comment faire, comment résister. Il a alors commencé à me peloter les fesses et à passer l’une de ses mains sur mes seins. J’étais toujours dos à lui, il me tenait par derrière et je sentais son sexe grossir contre ma jupe.
J’ai perdu la tête ...