1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (53) : le bureau.


    Datte: 10/01/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... fait quoi alors ?
    
    • Pour le moment contente toi de me toucher, je ne peux et ne veux donner davantage !
    
    • Tu me rends fou, petite allumeuse ! Je patienterai, je sais que tu en as envie, toi aussi. Tu finiras par suivre tes instincts !
    
    C’est ce jour-là que je lui accordé son premier baiser. Il embrassait bien. J’avais honte, me disant que les gens devaient remarquer mon alliance au doigt, alors que l’homme que j’embrassais n’en n’avait pas. Je rougissais, pensant que tout le monde me voyait comme une femme adultère.
    
    Pendant des semaines, Denis a patienté et s’est contenté de ce que je lui accordé.
    
    Nous avions chaque matin la réunion où nous faisions le point sur nos dossiers. Mais pas seulement.
    
    Il ne se contentait plus de me mettre la « main au cul », il caressait mes fesses, ses doigts fouillaient sous ma jupe, constatant que je mouillais.
    
    Il se montrait de plus en plus audacieux, prenant le risque que nous soyons surpris. Un jour au photocopieur, il s’est serré contre moi, me faisant sentir son désir.
    
    • Tu me rends fou, Olga ! Je te veux.
    
    Il m’embrassait dans le cou, ses mains étaient sur mes seins. Il releva ma robe blanche et ses mains s’aventurèrent jusqu’à ma poitrine. Mes seins étaient libres, comme il l’avait demandé.
    
    Je me suis retournée, lui offrant mes lèvres pour un baiser fougueux. Le risque décuplait mon excitation. J’aurais été prête à me faire prendre à cet endroit. C’est Denis qui s’est repris, juste à temps. Je savais cependant ...
    ... qu’à ce jeu ma réputation de femme facile ne faisait que se répandre au bureau.
    
    Le lendemain, Denis reprit l’offensive. Je m’y attendais et j’avais choisi une combinaison d’ »excutive women », avec un tailleur mauve assez strict, des escarpins bruns très élégants et un chemisier, que je savais échancré, laissant bien deviner mes petits seins et mon excitation.
    
    Denis arriva après moi. Le pantalon de son costume trahissait son excitation.
    
    Devant mes collègues, il prit un ton dur, celui du reproche pour un travail mal fait.
    
    • Olga, vous venez tout de suite dans mon bureau. Il faut qu’on revoie d’urgence la note que vous avez préparée hier soir. Il faut terminer ce que vous avez commencé et que vous avez bâclé !
    
    L’allusion était transparente. Peu de mes collègues étaient dupes, comme en témoignaient leurs regards et leurs sourires.
    
    • Bien sûr, Denis. Je suis à votre disposition.
    
    J’entendis une collègue dire à voix basse mais suffisamment fort :
    
    • Ça, on avait remarqué !
    
    • Mme E, dit Denis à sa secrétaire, nous en avons pour un petit moment. Qu’on ne me dérange pas.
    
    Aussitôt la porte refermé derrière nous, Denis me prit dans ses bras.
    
    • Denis, c’est de la folie, il ne faut pas !
    
    • Tais-toi, laisse-toi faire, je n’en peux plus, tu comprends !
    
    Pendant quelques secondes qui sont une éternité, nos visages sont à quelques centimètres, nos regards se noyant l’un dans l’autre. Je ne sais plus ce que je dois faire.
    
    Après quelques instants, Denis ...
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