1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (53) : le bureau.


    Datte: 10/01/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... pas faire d’esclandre alors que je traitais d’un dossier stratégique pour mon employeur. En réalité, Denis avait bien perçu mon consentement, ne serait-ce qu’au son de ma voix.
    
    Il se contenta de me sourire et de me dire :
    
    • Il m’avait semblé que tu avais aimé ça. Mais puisque c’est comme ça, OK, je te laisserai tranquille.
    
    Et en effet, pendant plusieurs semaines, il ne s’est plus rien passé.
    
    Est-ce le diable en moi qui me disait, le soir, dans mon lit, quand je me masturbais en pensant à Denis, que j’étais stupide, qu’après tout Philippe ne tenait pas ses engagements et me laissait véritablement en état de manque, lui-même se disant trop fatigué pour se consacrer à moi ? Tu parles, cette garce d’Ambre le tuait de plaisir pendant le week-end, mais ça je ne le savais pas encore.
    
    En journée, je me rendais de plus en plus en souvent aux toilettes, pour me masturber en pensant à Denis et au moment, que je sentais inévitable, où il me baiserait.
    
    Heureusement, les caresses et l’amour d’Agun me comblaient, mais n’ont jamais remplacé le besoin d’étreintes viriles.
    
    J’ai donc décidé, le lendemain, de jouer avec le feu et de mettre une tenue chic, mais plus sexy. J’avais choisi de porter un body et une jupe courte, ce qui mettait bien en valeur mes fesses et mes cuisses.
    
    L’effet a été immédiat. Je rangeais mes dossiers dans la salle d’archives, j’étais seule.
    
    Denis est rentré et à nouveau ses mains se portèrent sur mes fesses.
    
    • C’est pour m’allumer que tu ...
    ... t’es habillée comme ça aujourd’hui, petite garce ?
    
    • Je suis folle, mais j’aime quand tu me touches !
    
    Il s’est interrompu, nous risquions d’être surpris et nous risquions gros. Mais son regard en disait long sur ses intentions.
    
    Le lendemain, Denis m’invita au restaurant. Pendant le déjeuner, il mit sa main sur ma cuisse. Loin de le repousser, je mis ma main sur la sienne, pour lui signifier mon contentement.
    
    Sans lui donner ce jour-là tous les détails, je lui parlais de notre couple avec Philippe, de son candaulisme, mais aussi des contraintes que nous nous étions fixées, en particulier que mes liaisons éventuelles devaient avoir l’aval de mon mari et que ça ne devait pas se passer à mon travail et dans cette ville.
    
    • J’ai du mal à comprendre ce que tu appelles candaulisme. Si moi j’avais un tel trésor, je le garderai pour moi !
    
    • Je suis heureuse avec Philippe et j’aime ce mode de vie. Même si je reconnais qu’en ce moment Philippe me néglige un peu. Il est l’homme de ma vie, je ne veux pas le tromper, lui mentir.
    
    • Euh excuse-moi, mais techniquement le tromper, tu l’as fait bien souvent, non ?
    
    • Oui, mais c’est différent. Si j’avais une relation avec toi, ce ne serait pas du candaulisme, mais un adultère.
    
    • Pourquoi ne pas l’informer ? Même si ça ne me plait guère, si pour t’avoir il faut en passer par là, je veux bien te faire l’amour devant lui.
    
    • Il ne m’a autorisé de relations que celles qu’il choisit.
    
    • J’ai du mal à te comprendre. On ...
«12...456...12»