Xara et le voyage
Datte: 09/01/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
pénétratio,
Humour
sf,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... glauque, comme plan, mais ça me rappelait ma jeunesse…
— Baise-moi ! fit-elle, sans équivoque, en se relevant et se tournant pour s’appuyer contre la cloison des chiottes dans lesquelles nous nous trouvions.
Je ne réfléchis même pas ; de toute façon, je n’en étais pas en état, j’avais picolé un peu pendant le repas qui avait précédé la soirée en boîte, j’avais repris un ou deux verres en arrivant dans la discothèque… Et j’avais sous mes yeux fatigués le cul rebondi de Thylis qui me disait « viens ! ». Je la caressai brièvement et l’embrassai un peu dans le cou et sur les épaules ; mais elle était prête, coulant de désir. Je la pénétrai presque brutalement et me mis directement à la défoncer à toute allure, encouragé par ses cris de plaisir.
Est-ce que j’étais vraiment bourré ? Ou bien j’étais devenu parfaitement incapable ? Je m’étais vidé au fond de ma capote alors que la jeune femme n’avait visiblement pas joui. J’étais navré. Ce n’était pas mon genre… Je tentai quelques excuses maladroites, quelques promesses de mieux… Mais Thylis m’assura qu’elle était ravie. Elle se retourna pour ôter elle-même mon préservatif, m’embrassa une fois encore, et me demanda de lui abandonner les chiottes. Je lui promis de l’attendre au bar pour lui payer un verre et m’excuser de ma piètre performance. Elle me promit de m’y rejoindre aussitôt qu’elle serait de nouveau présentable. Je l’embrassai en la quittant sur ces promesses…
Mais elle ne vint évidemment jamais jusqu’au ...
... bar.
***
Mardi 22 juin 2010, 21h30 :
— Euh… ce n’est pas que je ne veuille pas, commençai-je en contemplant la somptueuse poitrine nue de l’inconnue. Mais, voyez-vous, mentis-je, j’ai plutôt pour habitude de connaître un minimum les femmes avec qui je m’accouple…
Elle me poussa quasiment sur mon canapé et s’y agenouilla à côté de moi.
— Accouplons-nous, reprit-elle, et si vous vous montrez convaincant, je vous en dirai davantage.
Je me frottai une nouvelle fois les yeux tandis qu’elle plaquait sa main sur mon entrejambe. Je zyeutai rapidement la pendule, il était 21 h 30 ; j’avais pas picolé ; je n’avais rien absorbé d’hallucinogène… Une nana à moitié à poil s’était incrustée chez moi pour me proposer de baiser… Je détaillais encore des yeux son corps parfait, sa taille fine, ses hanches arrondies, sa poitrine enchanteresse, ses cheveux ni tout à fait ocres ni tout à fait cuivrés qui tombaient, sinueux, sur ses épaules délicates… et surtout, ses grands yeux verts…
— Okay, tranchai-je, en fait parfaitement ravi. Allons-y…
Je m’enfonçai en arrière dans le canapé, écartant les bras, décidé à savourer ce plan cul tombé du ciel. La dénommée Xara se mit à me masser fermement entre les cuisses. Je la regardai faire un moment, dégustant des yeux son corps délicieux. Mon sexe durcissait. Je dirigeai ma main droite entre les jambes de la jeune femme, et remontai le long de ses cuisses, écartant les bandelettes de métal qui constituaient son unique vêtement. Au moment où ...