Xara et le voyage
Datte: 09/01/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
pénétratio,
Humour
sf,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... appris qu’il fallait pas coucher avec des inconnues sans préservatif. Tu comprends ?
— Oui, je comprends, mais je vous assure que vous êtes sain et moi également. Dans l’endroit d’où je viens, nous n’avons pas ce genre de maladies.
— Comment ça, l’endroit d’où tu viens ?
— Je… je viens de… Non, c’est trop tôt pour vous dire…
Je ne parvins que difficilement à me retenir d’exploser de rire une troisième fois. Elle poursuivit :
— Thylis était chargée de trouver un mâle compatible efficace ; elle a rapporté un échantillon de votre semence ; il s’est avéré que vous étiez un sujet favorable. Je suis ici pour un ultime test d’efficience et pour, le cas échéant, vous proposer de nous rejoindre. Il en va de la survie de la race humaine.
— Ha ha ha !
C’était bien trop fort pour moi ; je ne pouvais plus me retenir de me marrer. Bon, c’était finalement juste une copine de Thylis, qui voulait tirer un coup facilement. Mais elle exagérait un peu, quand même. C’était un peu gros.
— Tu as des cachets à prendre, pour les crises aiguës ?
— Vous ne me croyez pas, évidemment. La Grande Prêtresse avait prévu cette éventualité.
— La Grande Prêtresse ! Ha ha ha ha ha ha !
Je ne cherchais même plus à me retenir et me roulais vraiment par terre.
— Comment puis-je vous convaincre ?
— Euh… honnêtement, je sais pas trop…
Je la regardai de nouveau tandis qu’elle me lançait son regard infiniment sincère ; son air grave, son visage d’ange, ses grands yeux verts généreux, ses ...
... seins lourds, ses cuisses toujours ouvertes devant moi…
— Si je vous ramène avec moi, serez-vous convaincu ?
— Je sais pas trop… Où c’est que tu veux me ramener ?
— Et si vous êtes convaincu, accepterez-vous de me fertiliser ?
Je contemplai une fois encore son corps de rêve.
— Écoute, je te baiserai autant que tu voudras avec joie, mais pour ce qui est de faire un gosse, faudra quand même attendre un peu, tu crois pas ?
Elle parut hésiter un instant puis s’agita de nouveau :
— Venez avec moi.
Elle se leva, rajusta vaguement son espèce de robe blindée et me prit par la main, faisant mine de m’entraîner vers l’extérieur.
— Euh, attends, ma puce, je vais pas sortir à poil, quand même…
Je la retins le temps de me rhabiller. Quand j’eus passé mon caleçon et mon tee-shirt, elle m’interpella :
— Cela suffit, Gufti. Il ne fait pas froid là où nous allons. Inutile de vous vêtir davantage.
Je considérai de nouveau son seul et unique vêtement et convins que d’où qu’elle puisse venir, il ne devait pas y faire froid. Mais elle me tirait encore par le bras. Je me laissai entraîner, amusé. Elle franchit la porte et m’emmena dans mon jardin où je découvris soudain, sur le côté de la maison, plus ou moins à l’abri des regards, entre deux arbres, une sorte d’œuf géant qui semblait constitué d’un genre de métal verdâtre. Xara s’immobilisa devant cette chose et, découvrant ma tronche déconfite, m’expliqua :
— Je suis venue à l’aide de cette machine, que nous ...