Xara et le voyage
Datte: 09/01/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
pénétratio,
Humour
sf,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
Mardi 22 juin 2010, 21h25 :
La douce lumière de la fin de journée éclairait encore mon salon ; tranquillement écroulé sur mon canapé, j’étais en train de papoter au téléphone, avec Raoul qui me racontait ses derniers exploits sentimentaux, lorsqu’on frappa à ma porte. Étonné car n’attendant personne, j’allai ouvrir avec le combiné contre l’oreille.
Et je restai bouche bée. C’était une merveilleuse jeune femme, aux longs cheveux ondulés presque roux, à demi nue ; elle ne portait qu’une sorte de jupette grise qui semblait faite de petites bandes de métal. Je me frottai les yeux en regardant discrètement sa poitrine magnifique. De l’autre côté du téléphone, Raoul s’égosillait à me demander ce que j’étais en train de foutre.
— Je te rappelle, Raoul, fis-je simplement avant de raccrocher.
La jeune femme me scrutait avec une sorte de méfiance dans ses grands yeux verts.
— Vous êtes bien Gufti Shank ?
Elle avait une voix douce, mais ferme, et une légère pointe d’accent que je ne sus pas reconnaître. Je balançai le téléphone sur un meuble derrière moi.
— Euh… oui. C’est pour quoi ?
L’expression de son visage parut se détendre. Elle soupira profondément. Et sans le moindre mot, elle franchit résolument le seuil de la porte, referma ses mains sur mon visage et m’embrassa à pleine bouche. Ce n’était pas pour me déplaire, d’autant que la jeune femme était vraiment merveilleuse…
— Mmmm… qui… qui êtes-vous ? parvins-je à articuler en me dégageant de son ...
... étreinte.
— Je m’appelle Xara.
— Comme la voiture ? rigolai-je.
Elle me fit une drôle de tronche, ne comprenant visiblement pas ma blague. Passant outre ma décontenance, elle referma la porte derrière elle et me prit la main pour m’entraîner vers mon salon.
— Accouplons-nous ! proposa-t-elle fermement.
***
Samedi 19 juin 2010, 23h50 :
— Attends, je vais acheter des capotes.
— Non, laisse, j’en ai.
La belle sortit d’une des poches de son jean un préservatif emballé qu’elle déchiqueta en me lançant un regard de braise. S’agenouillant, elle le déroula avec peine sur mon sexe gonflé à bloc, qu’elle masturba ensuite un moment en continuant de me provoquer des yeux.
J’avais rencontré Thylis en boîte, parfaitement par hasard. Je n’allais presque jamais en boîte, mais pour une fois, les collègues avaient réussi à m’y traîner, pour une pseudo soirée de fin d’année des personnels. J’avais vaguement essayé de draguer l’une ou l’autre de mes collègues qui s’amusaient à plus ou moins allumer tout le monde autour d’elles. Mais c’était elle, finalement, Thylis, cette jeune femme que je n’avais jamais vue de me vie, qui s’était approchée de moi sur la piste de danse ; elle avait bougé un bon moment à mes côtés, en me provoquant de ses yeux bleus espiègles, balançant au gré de la musique son corps magnifique et désirable, de plus en plus proche de moi, jusqu’à ce que j’ose enfin l’inviter à boire un verre.
Et on avait fini dans les chiottes de la discothèque. C’était plutôt ...