Rue des Martyrs
Datte: 08/01/2020,
Catégories:
inconnu,
grosseins,
hotel,
facial,
Auteur: GillesP, Source: Revebebe
... m’embrasse souvent. Je n’ai pas franchement envie de quitter cette chambre. Elle me chuchote dans le creux de l’oreille :
— Tu es tendre, c’est important chez un homme la tendresse. Tu es tendre et rêveur mon cycliste. T’es pas vraiment le genre du libertin qui fait l’amour de façon mécanique. Tu aimes les femmes, comme on doit les aimer.
Il est des compliments que la fierté pousse à recevoir comme des coups de pique. Constatant que mon désir refait surface, allongé contre cette femme qui me trouve tendre alors que je m’étais annoncé comme libertin, je me relève sans une parole sous ses yeux interrogatifs. Elle analyse mon geste comme un signe de départ et me lance :
— Moi aussi, je dois y aller. Mon mari va s’inquiéter.
La laissant à peine se relever, le sexe dressé à la vue de ses fesses rebondies, mes deux mains viennent agripper ses hanches. Je n’ai plus devant moi la femme sublime aux seins majestueux, à la bouche rieuse, aux yeux qui en disent long, mais une paire de fesses. Une paire de fesses un peu large. Une paire de fesses entre lesquelles mon sexe vient s’amuser à coulisser. Ma manœuvre est immédiatement comprise. Sa croupe s’ouvre, son bassin imprime des mouvements de va-et-vient. Celle qui menaçait de rejoindre son mari lâche un :
— Prends-moi mon chéri, prends-moi comme une chienne.
Le cerveau aime le mélange sucré-salé des cacahuètes et du raisin, le mélange chaud-froid de la glace au chocolat chaud, le mélange classe et vulgaire de la dame ...
... qui me fait une telle demande.
Mon cerveau irrigue immédiatement ma verge de façon maximale, je constate que mon gland durci entre instantanément dans le préservatif que j’avais pris la peine de laisser traîner au pied du lit. Je caresse un peu le sexe de celle que j’ai envie d’appeler salope. J’aime cette face cachée de la femme sublime que j’embrassais avec respect il y a une minute à peine. Sa cyprine se fait abondante. Mon sexe entre sans plus de préliminaires que ça. Commencent alors les mouvements que l’homme et la femme connaissent depuis la nuit des temps, mouvements de plaisir, mouvements de plénitude. Mes mains quittent ses hanches, remontent sur son ventre musclé, puis remontent encore jusqu’à sentir le doux mouvement de ses seins ballottant au gré de nos saccades. La paume de mes mains soupèse ses énormes mamelles qui ne sont plus celles de la femme à la fière allure au volant de son 4x4, mais celles d’une femme qui se fait sauter par un inconnu. J’ai l’étrange sensation d’avoir découvert une femme facile, une femme qui se donne sans retenue. Le mot est lâché :
— Tu aimes ça, salope ?
— Oui, amour… Continue, surtout continue.
C’est ainsi que nous jouissons pour la deuxième fois, ensemble, toujours rapidement, mes mains pressant ses seins gonflés, mes doigts jouant avec ses tétons dressés à l’extrême, ma verge hurlant de désir dans son sexe béant.
…
Cette première rencontre sera suivie par de nombreuses autres rencontres. Je crois que nous n’avons ...