Police polissonne (23)
Datte: 07/01/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... verticale devant eux tous.
— Magne-toi, on a faim !
Il se déshabille. Il est à présent nu, le sexe en demi-érection en découvrant la minijupe, le chemisier blanc, le string blanc et le petit tablier, sans oublier la petite coiffe à dentelles de soubrette. Passant au rouge pivoine, il enfile le déguisement puis Myriam met les dernières touches en le maquillant avec de la poudre et du rouge à lèvres rouge vif.
— Regardez, les gars… Elle n’est pas mignonne, notre petite servante ? demande Sonia.
— Humm… Si : elle est à croquer !
Il est vrai qu’il rentre parfaitement dans le costume. Ses jambes longues, fines et imberbes contrastent avec le manque de poitrine ; malgré tout, le résultat est saisissant et joli.
— Nous allons déjeuner. Esclave, fais le service ! Tu déjeuneras là au milieu, à quatre pattes le cul à l’air et tourné vers nous pour qu’on ait un peu de spectacle, que diable ! ordonne Christian.
Olivier est de plus en plus excité : le fantasme tant espéré est en train de se réaliser. Lui qui rêvait d’humiliation, recevoir de tels ordres de la part d’un homme lui procure un immense plaisir.
Les filles savourent la performance d’Olivier et commentent la tenue et la démarche de la soubrette.
— Elle est pas mal, notre petite Olive… Il faudrait que tu tortilles un peu plus du cul ; voilà, comme ça. Hé, les gars, vous ne lui passez pas une main au cul ? C’est comme ça qu’on fait avec les servantes, non ?
— Oui, tu as raison ; on va l’aider ...
... moralement à préparer la table. Ah oui, elle a vraiment de belles fesses ; et toutes douces en plus, commente Christian.
— C’est vrai… reprend Simon.
Olivier prépare tout ce qu’il faut sur la table, et à chaque fois qu’il passe à proximité de quelqu’un il se prend une main au cul, et un pelotage des testicules de la part des filles.
— Maîtresse, le petit-déjeuner est servi, annonce Olivier qui ne peut que jouer le jeu.
Tous s’installent. La servante verse le café, approche les viennoiseries et attend. Elle a du mal à poursuivre, car manger à quatre pattes et le cul à l’air semble impossible à réaliser ; c’est le comble de l’humiliation.
— Esclave, en place comme je te l’ai indiqué ! insiste Christian.
— Oui, tout de suite.
— Oui, qui ? Les esclaves disent « Oui Maître, ou Maîtresse ». Vu ?
— Oui Maître.
Olivier se place à quatre pattes avec son bol de café et un croissant posés sur un plateau à même le sol. Dans cette position, la minijupe remonte à mi-fesses, et la vue des deux jolies rondeurs, du string et de sa ficelle ancrée dans la raie du cul mettent en valeur une paire de couilles débordant de chaque côté du string. Mettre un string de femme et faire entrer tout le matos quand on est bien équipé relève du défi ; pour le moment, les commentaires fusent de tous les côtés.
Olivier, honteux mais excité, savoure ce moment tant rêvé en espérant que ce qui va suivre lui réserve de belles surprises. Dans sa tête c’est : « La suite… Vite, la suite… La ...