1. Police polissonne (23)


    Datte: 07/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... je chronomètre. Plongez !
    
    Les deux filles plongent. L’eau est glaciale. Elles sont saisies par le froid, et une fois la tête hors de l’eau, Myriam dit :
    
    — Putain, il va nous le payer… Allez, il faut nager vite avant d’être congelées.
    
    Elles traversent le petit lac, font demi-tour et reviennent sur le bord. Lorsqu’elles sortent de l’eau, seule la lampe-torche et leurs baskets sont là pour les accueillir ; Olivier a disparu.
    
    — Putain, le salaud ! Il est parti avec nos fringues ! s’exclame Myriam.
    
    — Ouais… ça sent la vengeance, ça. Myriam, c’est de ta faute de l’avoir fait revenir à poil l’autre fois.
    
    — Excuse-moi, mais c’est lui qui a voulu. Sonia, on rentre au pas de course, on se prend une douche bien chaude et, promis, je te fais un gros câlin ; et après on s’occupe de lui.
    
    — Non, mais attends, on ne va pas lui faire des câlins en plus…
    
    — Sûrement pas, dit Sonia en plaquant Myriam contre un arbre.
    
    Elle plaque son corps contre celui de sa compagne, et toutes grelottantes de froid, leurs tétons durs et pointus se heurtent et déclenchent chez les deux femmes une terrible envie de s’aimer. Les bouches se collent et elles s’embrassent avec fougue. Elles glissent leurs mains dans l’entrejambe glacé de l’autre qui s’ouvre instantanément. Elles se frottent le clito, la vulve, et s’enfoncent des doigts dans le vagin jusqu’à avoir un orgasme.
    
    — Hmmm… Putain, Myriam, j’ai envie de toi…
    
    — Moi aussi ; tu me rends folle, mais j’ai terriblement froid.
    
    — ...
    ... Bon anniversaire, Myriam !
    
    — Oh, merci, merci… Quel beau cadeau ! Mais comment tu as su ?
    
    —Top secret, et ce n’est pas fini… Go, on se frictionne et on y va.
    
    — OK, alors tourne-toi, je te fais le dos.
    
    Myriam se tourne et Sonia lui frictionne le dos énergiquement, puis elles se le font mutuellement. Résister au froid fait partie des exercices de cette formation ; elles savent que si elles s’entraînent elles auront plus de chance de résister aux exercices à venir. Au bout d’un moment de cette stimulation réciproque et des cinq degrés de l’air extérieur, elles ont presque chaud. Dans la clarté grandissante du lever du jour, Sonia plaque encore Myriam contre un arbre et l’embrasse goulûment, puis elles reprennent la direction de leur chambrée au galop, traversent la cour centrale par le milieu avec l’espoir de croiser quelques regards d’hommes agrippés aux carreaux des fenêtres. Elles s’engouffrent dans les sanitaires et ouvrent les robinets d’eau chaude à fond.
    
    — Sonia, on va leur mettre le feu ; et je voudrais qu’on fasse l’amour pour de vrai. Tu sais ce dont on avait parlé ? Pas un truc porno, un truc tout en douceur, en cadeau.
    
    — J’allais te le proposer.
    
    — Cool, et dommage que je n’y aie pas pensé : j’aurais pu sortir et acheter à boire et un gâteau pour fêter ça, dit Myriam d’un air dépité.
    
    — Moi si… Je ne t’en dis pas plus.
    
    Les filles, en tenue d’Ève, montent dans la chambrée et découvrent avec surprise que les garçons sont là, sauf Olivier.
    
    — ...
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