1. Police polissonne (23)


    Datte: 07/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... Waouhhh… Comme vous êtes belles, les filles ! Bon Anniversaire, Myriam ! scandent-ils en chœur.
    
    Il est neuf heures lorsque Olivier entre dans la pièce, les bras chargés de sacs, et découvre avec stupeur qu’il n’y a pas que les filles.
    
    — Ah… Salut, les gars. Déjà rentrés ?
    
    — Eh oui, mec ; on s’est dit qu’il faisait trop froid pour rester dehors ; tu ne crois pas ?
    
    — Oui…
    
    Pour Olivier, c’est la déception car il s’était imaginé pouvoir rester seul avec les filles en espérant pouvoir jouer.
    
    — J’ai pris des viennoiseries pour le petit déj’ mais il n’y en aura pas assez pour tout le monde ; il faudrait en chercher d’autres. Et du café aussi.
    
    — T’inquiète, on a tout prévu. On déjeune ? dit Romain.
    
    — Tiens, Myriam, et bon anniversaire, dit Christian en tendant un paquet à Myriam.
    
    — Oh, merci, vous êtes trop sympas ! continue-t-elle et faisant la bise à tous.
    
    Arrivée à Olivier, il lui dit :
    
    — Je suis désolé ; je n’ai rien prévu. Je ne savais pas…
    
    — Olivier, nous si : le cadeau que tu vas faire à ta chérie est là-dedans, dit-il en montrant un sac en papier marron sans marques. En attendant, va te doucher. Et à fond !
    
    — OK. C’est quoi ?
    
    — Tu verras. Tiens, Sonia, c’est pour toi ; comme on ne sait pas quand tombe ton anniv’… continue Christian en lui tendant un petit paquet.
    
    — Ah, merci ; c’est trop sympa. Pour mon anniversaire, c’était en août, mais je ne le fête jamais ; c’est comme ça.
    
    Elles déballent leurs cadeaux et découvrent deux ...
    ... peignoirs en imitation soie.
    
    — Oh, c’est trop cool ! Ici, il ne fait pas très chaud en ce moment ; je vous fais la bise, dit Sonia.
    
    — Pour quelqu’un qui se balade à poil, et dans la cour en plus, vous ne devez pas avoir si froid que ça. Et qu’est-ce que vous foutiez dans cette tenue, un dimanche et à cette heure-ci ?
    
    — Ah, vous nous avez vues ? On va dire qu’on s’entraînait à résister au froid, répond Myriam.
    
    — Drôle d’idée, mais bon… Olivier, va te doucher ! Tu as dix minutes.
    
    Olivier disparaît. Au fond de lui, il sent qu’il va se passer quelque chose ; il est bien décidé à céder aux caprices de tous. Se rendant compte de son indélicatesse envers les filles, il est prêt à tout assumer. En moins de dix minutes, et avec tout un tas de fantasmes en tête, il est de retour parmi les autres. Il découvre les filles en peignoir et les garçons appuyés sur la table. Tous le fixent avec un regard vicieux.
    
    — À poil ! Et enfile ça ! ordonne Myriam en jetant un sac sur le lit d’Olivier.
    
    Il l’ouvre et découvre une tenue de soubrette achetée dans un magasin de déguisements.
    
    — Esclave, mets ça ! Et vite !
    
    Pour lui, c’est l’humiliation : se déguiser en soubrette devant ses compagnons de formation est bien au-delà de ce qu’il avait espéré. Son fantasme se limitait à faire ça avec les filles et se faire mettre un ou deux doigts dans les fesses ; mais là, c’est le comble ! Honteux et avec horreur, il sent l’excitation monter à l’idée de se retrouver avec la bite à la ...
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