Soumission - Histoires de Sexe

Soumission

... ce dernier continua un de ses livres. Régulièrement, ils arrêtaient pour aller voir l’autre et le câliner. Ils se sentaient bien ensemble. Lorsque Élodie, ayant terminé un ses épisodes, alla voir Gilles en pleine lecture, elle sourit en le voyant lui tendre un bracelet. Cette fois, c’était lui qui proposait. Elle apprécia qu’il lui demande son avis et prit le bracelet avec joie.

— Fais-moi une fellation, ordonna-t-il.

Élodie s’agenouilla devant lui. Elle approchait ses mains de son pantalon lorsqu’il lui saisit ses poignets et souffla :

— D’abord, tu te mets seins nus et ensuite, tu ne me touches pas, ma soumise.

Élodie recula et se dévêtit.

— Rhabille-toi, ordonna-t-il dès qu’elle eut fini et elle s’exécuta.

Lorsqu’elle fut à nouveau couverte, il lança :

— Tu appelles ça te déshabiller pour moi ?

Élodie se mordit la lèvre inférieure. Elle n’avait pas vraiment fait attention à le faire pour lui, s’étant dévêtue sans penser à son maître.

— Pardon, Maître.

Elle allait ôter son gilet mais il l’en empêcha à nouveau.

— Pardon ? dit-il d’une voix accusatrice.

Élodie se sentit mal, comme prise au piège. Elle réfléchit puis souffla :

— Je… je mérite une punition.
— C’est mieux, dit-il. Va me chercher le martinet dans l’armoire de la chambre. Pas la cravache, hein ! Tu sais à quoi ressemble un martinet ?
— Je crois, oui, souffla Élodie, peu sûre d’elle.
— Alors va !

Elle se leva et se rendit dans la chambre. Lorsqu’elle ouvrit l’armoire, ...

... elle se figea. Elle contenait un nombre impressionnant d’objets, de liens, tous tournés vers le sexe.

— Tu trouves ? lança Gilles depuis le salon.

Élodie regarda rapidement les différentes étagères mais il y en avait de nombreuses sortes.

— Lequel dois-je prendre, Maître ?
— Il y en a trois, annonça Gilles. Un en cuir rigide, et deux en daim, un court et un long. Prends celui en daim long.

Élodie en prit un qui semblait correspondre. Lorsqu’elle revint dans le salon, le hochement de tête de son maître lui confirma qu’elle ne s’était pas trompée. Elle remarqua qu’il avait reculé la petite table du salon, offrant un espace bien plus grand devant lui. Il attrapa le petit fouet qu’elle lui tendait puis lui dit :

— Mets-toi debout devant moi et déshabille-toi entièrement.

Élodie obéit et cette fois, fit bien attention à le faire pour lui. Gilles observa sa soumise danser sensuellement devant lui tout en jouant avec les lanières du martinet. Lorsqu’elle fut nue, il lança :

— Mets-toi à quatre pattes devant moi.

Tandis qu’elle s’exécutait, il libéra son sexe de son écrin de tissu. Lorsqu’elle fut en position, il souffla :

— Maintenant, suce-moi.

Elle le prit en bouche et sursauta lorsqu’il la fouetta. Le claquement sonore multiple produit par l’objet surpris Élodie puis la douleur, très différente de celle de la cravache. Avec le martinet, il y eut d’abord une onde de choc, d’abord sans grande douleur, mais qui se propagea en une chaleur piquante qui ...