1. Alentours de Lyon - 1637


    Datte: 01/01/2020, Catégories: fh, fhhh, hagé, religion, fsoumise, hdomine, contrainte, facial, Oral pénétratio, Partouze / Groupe sf, fantastiqu, Auteur: Elros, Source: Revebebe

    ... vieux moine. Il est, comment dire, imposant… Et elle n’aurait jamais cru qu’un papy puisse bander autant. Le sexe fièrement dressé, le moine monte sur le lit. Il s’accroupit entre ses jambes, approche la tête de sa fente et se met à la lécher. Puis il s’allonge sur la couche, glisse une main entre les cuisses de la jeune femme et se met à lui titiller le clitoris de son index tout en lui léchant le pourtour des lèvres.
    
    — Hummm… c’est bon… dit Marie, appréciant la caresse.
    
    Le moine accentue sa caresse et glisse sa langue dans le sexe humide de la jeune femme. Elle ferme les yeux et se laisse aller aux caresses du vieil homme, mais ce n’est pas du goût de l’un des deux derniers moines qui n’avaient pas encore joui. Il s’avance au bord du lit, saisit la main droite de Marie, et la pose sur sa verge. Elle rouvre les yeux quelques secondes, fixant ce membre qu’on lui demande bien cavalièrement de caresser. Le vieux moine a glissé deux doigts dans sa chatte, lui arrachant un long soupir de plaisir. Elle se met à tortiller son bassin, le faisant onduler et bouger autour des doigts. Le moine lui lèche le clitoris pendant qu’elle branle un peu mécaniquement, il faut bien l’avouer, la bite qu’on lui a glissée dans la main.
    
    Tout au plaisir des caresses qu’on lui prodigue, elle ne voit pas se contracter le visage du moine qu’elle est en train de branler. Il se raidit et pousse un grognement. Sa queue se redresse et un jet de sperme en jaillit et monte dans les airs avant de ...
    ... redescendre s’écraser entre les seins de Marie et sur son ventre. Marie ne relâche pas la pression de ses doigts et de nouveaux soubresauts de la verge se produisent, accompagnés de jets de foutre. Le moine décharge longuement, répandant sa semence sur le corps de Marie, alors que le vieil homme lui caressait toujours l’entrejambe. Elle trouve cela tellement divin qu’elle jouit presque à ce moment-là.
    
    — Mon enfant, mettez-vous à quatre pattes que je puisse vous prendre tout en soulageant mes pauvres reins, lui dit le vieux moine en se relevant doucement.
    
    Marie lâche la queue qu’elle tenait toujours et qui commençait à se ramollir, et se met à quatre pattes sur le lit. Elle le fait non sans jeter un coup d’œil au bassin du moine qui attendait à genoux, la verge dressée. Elle lui présente sa croupe sans discuter. Les quatre autres moines se rapprochent du lit. L’un des quatre vient se placer en face de Marie. Elle peut constater qu’il bande lui aussi fortement et elle lève les yeux vers son visage. Elle s’aperçoit alors que c’est le dernier moine, avec celui qui allait la prendre, à ne pas avoir joui.
    
    Elle sent la bite se poser sur l’orée de sa fente intime et débuter sa pénétration. L’engin imposant du vieil homme lui écarte les lèvres et se fraie lentement un passage dans son con. Il s’enfonce en elle, sans grande difficulté d’ailleurs, à sa plus grande joie. Elle cambre ses reins pour faire ressortir son bassin et l’accueillir encore plus profondément. Pendant que cette ...