1. Dévergondage d'une jeune fille de bonne famille (3)


    Datte: 01/01/2020, Catégories: Erotique, Auteur: Erika Sauw, Source: Xstory

    ... lâcha son pénis et se redressa. Bruno mit à profit cette pause pour se déshabiller. Il se leva tandis que je m’asseyais sur le canapé, les jambes écartées, calée sur des coussins. L’invitation à la pénétration était claire et mon copain ne put faire autre chose que de se placer entre mes genoux.
    
    — Je dois te déflorer ? demanda-t-il.
    
    — Je m’y suis préparée. Et Mélanie également, si vous êtes partants.
    
    — Je ne sais pas si j’y arriverai.
    
    — Tu me pénètres, tu éjacules dans mon vagin, on te fait rebander et tu recommences avec Mélanie. Ce n’est pas difficile.
    
    Ma sœur était restée debout, et d’après ce que je voyais de son sexe, il était humide. Elle ne put longtemps résister à l’envie de mettre un doigt dessus. Bruno m’abreuva de caresses avant de s’intéresser de près à ma vulve qui secrétait de la rosée en abondance. Écartant mes petites lèvres, il découvrit l’entrée obstruée de mon vagin. Il était aussi fasciné par ce petit univers de peau et de muqueuse que Mélanie l’avait été par son phallus.
    
    — Tu vois, c’est mon clitoris, lui dis-je en le guidant.
    
    Il s’y intéressa et toucha prudemment ce bourgeon de chair, ce qui provoqua quelques décharges dans mon corps. Je l’encourageai ensuite à me pénétrer. Penché sur moi, les mains sur le canapé, Bruno plaça l’extrémité de son pénis en bas de ma chatte et entreprit d’en forcer l’entrée. La douleur monta, mais je serrai les dents et le passage s’ouvrit. Le pieu de Bruno fut enfoncé jusqu’à sa base.
    
    — C’est étroit, ...
    ... jugea-t-il.
    
    Il entreprit néanmoins un lent va-et-vient auquel je réagis par des gémissements, mais après seulement quelques mouvements, il grimaça, souffla comme un taureau et projeta une bonne ondée de sperme.
    
    Le coït avait été court, mais je ne lui en tins pas rigueur. Debout devant moi, il maintint son regard fixé sur ma fente, d’où une coulure blanche s’échappa. Il ne m’avait pas inséminée d’une manière suffisamment profonde. La main droite plaquée sur ma vulve, je m’empressai de quitter le canapé et de monter au premier étage.
    
    Dans la salle de bains, je fis un nettoyage intégral de mon entrecuisse et je regardai avec fierté le corps que le miroir me montrait. Je comprenais ce que signifiait l’expression « être faite femme ». Mon cœur donnait de grands coups dans ma poitrine et la couleur de mes joues me donnait l’impression d’avoir couru sur cent mètres.
    
    Je décidai de laisser Mélanie seule avec Bruno et je vagabondai nue au premier étage. Je fis une halte dans la chambre de mes parents aux rideaux fermés, et je m’allongeai sur leur lit, les cuisses écartées, comme pour le profaner. J’imaginai les ébats secrets qui s’y déroulaient. Pour autant que je le sache, ils ne devaient pas être très fréquents.
    
    Quand je descendis au rez-de-chaussée, je trouvai Mélanie dans les bras de Bruno.
    
    — C’est fait ? demandai-je.
    
    — Oui, mais je n’ai pas éjaculé dans sa chatte, répondit Bruno. Je l’ai fait dans sa bouche.
    
    Ma sœur passa une main sur ses lèvres comme pour ...
«12...4567»